C’est une information révélée par le site Actu 17 et confirmée à CNI par le procureur de la République d’Ajaccio, Nicolas Septe, ce mercredi matin : une dizaine policiers hors service et en tenue civile a été agressée à la sortie d’un bar ajaccien dans la nuit de vendredi à samedi.
Selon Actu 17, c’est alors que ces membres des CRS 54 de Marseille et 5 de Massy quittaient l’établissement à l’heure de sa fermeture qu’ils ont été pris à partie par un groupe d’une vingtaine de personnes et roués de coups. « Ces vingt personnes n’ont pas forcément toutes participé aux agressions », note toutefois le procureur de la République d’Ajaccio en ajoutant : « Il semblerait que l’un des policiers ait été reconnu par l’un des agresseurs qu’il avait verbalisé quelques temps auparavant ». En tout, selon Nicolas Septe « deux policiers se sont vus prescrire une ITT pénale comprise entre 5 et 6 jours ». Actu 17 précise pour sa part que l’un des CRS souffrirait d’une fracture au nez.
Une enquête a été ouverte pour violences en réunion sur personnes dépositaires de l’autorité publique. « Le travail d’identification des agresseurs est toujours en cours au sein de la Direction Interdépartementale de la Police Nationale (DIPN) », signale Nicolas Septe en soulignant que « des auditions de témoins sont en cours » et que le dossier « avance bien ».
Selon Actu 17, c’est alors que ces membres des CRS 54 de Marseille et 5 de Massy quittaient l’établissement à l’heure de sa fermeture qu’ils ont été pris à partie par un groupe d’une vingtaine de personnes et roués de coups. « Ces vingt personnes n’ont pas forcément toutes participé aux agressions », note toutefois le procureur de la République d’Ajaccio en ajoutant : « Il semblerait que l’un des policiers ait été reconnu par l’un des agresseurs qu’il avait verbalisé quelques temps auparavant ». En tout, selon Nicolas Septe « deux policiers se sont vus prescrire une ITT pénale comprise entre 5 et 6 jours ». Actu 17 précise pour sa part que l’un des CRS souffrirait d’une fracture au nez.
Une enquête a été ouverte pour violences en réunion sur personnes dépositaires de l’autorité publique. « Le travail d’identification des agresseurs est toujours en cours au sein de la Direction Interdépartementale de la Police Nationale (DIPN) », signale Nicolas Septe en soulignant que « des auditions de témoins sont en cours » et que le dossier « avance bien ».