Alain Orsoni, dont le nom est constamment cité en marge des règlements de compte à Ajaccio, s’estime «condamné à mort» par des «rumeurs» rapporte leParisien.fr.
Toujours selon le site, Orsoni affirme qu'il est «devenu une cible prioritaire». S’il refuse de penser que Jacques Nacer, comme l’avocat Antoine Sollacaro avant lui, ont été tués en raison de l’amitié qui les liait, Alain Orsoni craint , toujours selon le site du Parisien, désormais pour sa vie.Lui-même toujours mis en examen dans le cadre d’un règlement de compte survenu en 2009 près d’Ajaccio, Alain Orsoni assure qu’il ne souhaite pas «se soustraire à la justice» mais confie qu’il quittera ensuite «l’île et la France», «si je suis toujours en vie».