Caroline Tharot, procureure de la République de Bastia, a fait le point sur cette affaire, vendredi en fin d'après-midi.
On se souvient que le corps de Pierre-Marie Guidoni, âgé de 75 ans, avait été découvert, atteint par plusieurs tirs par arme à feu, le 1 décembre dernier en fin d’après-midi sur la commune de Moltifao.
"L’enquête a été confiée à la section de recherches d’Ajaccio, détachement de Bastia du chef d’assassinat.
Aux termes d’investigations minutieuses et approfondies, les enquêteurs ont pu procéder dès le 5 décembre, à l’interpellation de Volodia Malfait, né à Bastia et à son placement en garde à vue" soulignait vendredi Caroline Tharot..
La procureure a également précisé que "à l’occasion de son interpellation, il a été découvert en possession de l’arme du crime et de munitions" et que "durant sa garde à vue, il a reconnu être l’auteur des faits".
Selon le Parquet bastiais "l'intéressé est déjà connu des services de la justice pour avoir été condamné à 18 mois d’emprisonnement le 17 mars 2017 à Ajaccio pour des faits d’extorsion par violence, menace ou contrainte, ainsi que des services psychiatriques."
Il a été déféré vendredi pour être présenté à un juge d’instruction dans le cadre de l’information judiciaire ouverte du chef d’assassinat.
A l’issue de son interrogatoire de première comparution au cours duquel il a fait usage de son droit de garder le silence, il a été mis en examen du chef d’assassinat et placé en détention provisoire.
On se souvient que le corps de Pierre-Marie Guidoni, âgé de 75 ans, avait été découvert, atteint par plusieurs tirs par arme à feu, le 1 décembre dernier en fin d’après-midi sur la commune de Moltifao.
"L’enquête a été confiée à la section de recherches d’Ajaccio, détachement de Bastia du chef d’assassinat.
Aux termes d’investigations minutieuses et approfondies, les enquêteurs ont pu procéder dès le 5 décembre, à l’interpellation de Volodia Malfait, né à Bastia et à son placement en garde à vue" soulignait vendredi Caroline Tharot..
La procureure a également précisé que "à l’occasion de son interpellation, il a été découvert en possession de l’arme du crime et de munitions" et que "durant sa garde à vue, il a reconnu être l’auteur des faits".
Selon le Parquet bastiais "l'intéressé est déjà connu des services de la justice pour avoir été condamné à 18 mois d’emprisonnement le 17 mars 2017 à Ajaccio pour des faits d’extorsion par violence, menace ou contrainte, ainsi que des services psychiatriques."
Il a été déféré vendredi pour être présenté à un juge d’instruction dans le cadre de l’information judiciaire ouverte du chef d’assassinat.
A l’issue de son interrogatoire de première comparution au cours duquel il a fait usage de son droit de garder le silence, il a été mis en examen du chef d’assassinat et placé en détention provisoire.