"Un projet qui s'oriente autour de la langue corse, de sa préservation et de sa promotion." C'est Anna Grossmann, professeur d'éco-gestion, en charge de superviser ce projet, qui a expliqué, avec fierté, la création de ses élèves.
Ces derniers vont participer, jeudi, au concours des "mini-entreprises" de l'association EPA Corse, qui réunit plusieurs établissements scolaires de l'île, et devront à ce titre présenter leur projet : le premier imagier sonore français-corse.
Le principe est simple : des dessins portant sur différents lexiques, que l'on peut scanner à l'aide d'un "QR Code" et qui renvoie directement à un fichier audio traduisant chaque image en français, puis en corse. Un mariage de la technologie et de la langue corse qui semble des plus prometteurs.
Ces derniers vont participer, jeudi, au concours des "mini-entreprises" de l'association EPA Corse, qui réunit plusieurs établissements scolaires de l'île, et devront à ce titre présenter leur projet : le premier imagier sonore français-corse.
Le principe est simple : des dessins portant sur différents lexiques, que l'on peut scanner à l'aide d'un "QR Code" et qui renvoie directement à un fichier audio traduisant chaque image en français, puis en corse. Un mariage de la technologie et de la langue corse qui semble des plus prometteurs.
Un projet mené de main de maître
Une initiative qui a le mérite d'être salué tant le petit groupe a mis du cœur à l'ouvrage.
"On a rencontré quelques difficultés, notamment sur le point technologique et même au niveau du financement mais au final on est satisfait du résultat" a expliqué Nassim, élève qui a participé au projet.
Afin de pouvoir mettre en place cet outil, chacun a dû apporter sa pierre à l'édifice : "c'est la maman d'une des élèves, qui est dessinatrice, qui nous a aidé pour les graphismes. Pour le financement, on a réussi à obtenir des aides et on a également organisé des ventes de gâteaux" indique Livya, elle aussi élève, à l'initiative de cette création. "Armand Luciani, parrain de ce projet a également contribué à la création de nos maquettes."
À la suite de ce concours, les élèves auront l'occasion, en cas de victoire, de porter leur projet de l'autre côté de la Méditerranée en participant au grand concours national qui aura lieu du 3 au 5 juillet à Lille.
À noter également que peu importe l'issue du concours, cet imagier bilingue sera disponible dans de nombreux centres de diffusion des régions bastiaises et ajacciennes à partir du mois de Juin.
"On a rencontré quelques difficultés, notamment sur le point technologique et même au niveau du financement mais au final on est satisfait du résultat" a expliqué Nassim, élève qui a participé au projet.
Afin de pouvoir mettre en place cet outil, chacun a dû apporter sa pierre à l'édifice : "c'est la maman d'une des élèves, qui est dessinatrice, qui nous a aidé pour les graphismes. Pour le financement, on a réussi à obtenir des aides et on a également organisé des ventes de gâteaux" indique Livya, elle aussi élève, à l'initiative de cette création. "Armand Luciani, parrain de ce projet a également contribué à la création de nos maquettes."
À la suite de ce concours, les élèves auront l'occasion, en cas de victoire, de porter leur projet de l'autre côté de la Méditerranée en participant au grand concours national qui aura lieu du 3 au 5 juillet à Lille.
À noter également que peu importe l'issue du concours, cet imagier bilingue sera disponible dans de nombreux centres de diffusion des régions bastiaises et ajacciennes à partir du mois de Juin.