La foi qui anime les responsables du Canoë Kayak club du Golu*, est capable non pas de leur faire soulever des montagnes, mais de leur faire éliminer ce site de la Marana, situé à un peu plus de 500 m après la célèbre cathédrale de la Canonica, du tas d'immondices qui l'encombrait.
Bruno Barrero et ses amis s'y sont attelés avec une belle ardeur.
Après cette première étape, et toutes les autorisations qui ont été délivrées au CKCG, tous ont entrepris de procéder à un nettoyage des berges sur plusieurs centaines de mètres puis de réaliser un chemin d'accès jusqu'au Golu qui coule à quelques mètres de là.
Ce fut là encore un travail de titan.
"Mais il faudrait bien plus que ce que nous avons fait pour nettoyer le fleuve où, hélas, l'on trouve de tout" souligne Bruno Barrero.
Pour l'heure ce nettoyage, opéré avec succès, suffit au bonheur des amateurs des trois embarcations - canoë, kayak, paddle - qui, sous l'égide de la fédération française de canoë-kayak, pratiquent aussi bien sur le fleuve, son bras mort ou, bien jusqu'à la mer, à partir des installations du club situées à proximité du chemin communal.
Mais si le développement de la discipline et les activités du club demeurent pour l'heure les objectifs essentiels de ses dirigeants, la protection de l'environnement pour laquelle ils se sont, déjà, fortement impliqués, est l'une de leurs autres priorités.
C'est la raison pour laquelle ce jeudi matin ils ont, en collaboration avec le conservatoire des espace naturels, organisé une journée portes ouvertes destinée à sensibiliser encore plus les pratiquants des sports de pagaie.
Au CKCG, en tout cas, le message a été bien perçu.
Ici on a poussé le soin jusqu'à choisir des embarcations de couleur verte pour que la pratique du canoë, du kayak et du paddle se fonde, encore un peu plus dans le paysage !
Bruno Barrero et ses amis s'y sont attelés avec une belle ardeur.
Après cette première étape, et toutes les autorisations qui ont été délivrées au CKCG, tous ont entrepris de procéder à un nettoyage des berges sur plusieurs centaines de mètres puis de réaliser un chemin d'accès jusqu'au Golu qui coule à quelques mètres de là.
Ce fut là encore un travail de titan.
"Mais il faudrait bien plus que ce que nous avons fait pour nettoyer le fleuve où, hélas, l'on trouve de tout" souligne Bruno Barrero.
Pour l'heure ce nettoyage, opéré avec succès, suffit au bonheur des amateurs des trois embarcations - canoë, kayak, paddle - qui, sous l'égide de la fédération française de canoë-kayak, pratiquent aussi bien sur le fleuve, son bras mort ou, bien jusqu'à la mer, à partir des installations du club situées à proximité du chemin communal.
Mais si le développement de la discipline et les activités du club demeurent pour l'heure les objectifs essentiels de ses dirigeants, la protection de l'environnement pour laquelle ils se sont, déjà, fortement impliqués, est l'une de leurs autres priorités.
C'est la raison pour laquelle ce jeudi matin ils ont, en collaboration avec le conservatoire des espace naturels, organisé une journée portes ouvertes destinée à sensibiliser encore plus les pratiquants des sports de pagaie.
Au CKCG, en tout cas, le message a été bien perçu.
Ici on a poussé le soin jusqu'à choisir des embarcations de couleur verte pour que la pratique du canoë, du kayak et du paddle se fonde, encore un peu plus dans le paysage !