Les membres de l'Association La Passerelle entourés par le groupe Isulatine
En Corse, plus de 450 enfants et adolescents sont porteurs de troubles du spectre autistique (TSA). En février 2015, Pascale et Laurent Millo, parents d’un enfant avec autisme, créent l’association la "Passerelle". Une autre famille vient se greffer au projet puis suivent des professionnels qui interviennent auprès des enfants.
Actuellement en France, les personnes avec autisme peuvent être acceptées dans certaines mesures par des établissements médico-sociaux publics mais qui ne répondent pas à la demande en termes de capacité d’accueil et qui bien souvent, ne proposent pas d’accompagnements adaptés. Les familles sont alors obligées de se tourner vers des professionnels libéraux (éducateurs, orthophonistes, psychologues …) mais cela implique une prise en charge difficile à organiser et onéreuse.
La Passerelle entend répondre aux problématiques de prise en charge et assurer la formation et la stabilité aux professionnels pour ainsi favoriser l'inclusion des personnes autistes dans tous les milieux de vie (inclusion sociale, scolaire et professionnelle) « Nous sommes de plus en plus écoutés grâce à l’Association. Les organismes publics sont plus réceptifs, collaborent davantage avec nous et les donateurs généreux mais le chemin est encore long » explique Laurent Millo.
L’autre objectif de la Passerelle est de promouvoir et encadrer la mise en place des prises en charges libérales avec des professionnels certifiés respectant les recommandations de la Haute Autorité de Santé notamment celle de la méthode comportementaliste ABA utilisée depuis de nombreuses années aux Etats-Unis et au Canada.
La France accuse un lourd retard sur ses voisins notamment dans la prise en charge des autistes en termes de scolarisation et de santé. Des associations comme La Passerelle sont indispensables pour sensibiliser le grand public à cette maladie mais comme nous l’explique Stéphanie Rocchi, enseignante et membre de l’Association « Il faut transformer l’écho en actions concrètes ».
Samedi soir, l’Association a choisi les voix du groupe Isulatine pour faire écho à son combat dont celle de Pascale Landolfini, enseignante et membre du groupe « En tant qu’artistes, on ne peut pas imaginer ne pas s‘impliquer dans la société. Le monde associatif est une alternative au monde d’aujourd’hui ».
La population corse a répondu présente. Les bancs de l’église de Saint Pancrace ont affiché complets prouvant encore une fois la générosité insulaire à l’égard des grandes causes.
Actuellement en France, les personnes avec autisme peuvent être acceptées dans certaines mesures par des établissements médico-sociaux publics mais qui ne répondent pas à la demande en termes de capacité d’accueil et qui bien souvent, ne proposent pas d’accompagnements adaptés. Les familles sont alors obligées de se tourner vers des professionnels libéraux (éducateurs, orthophonistes, psychologues …) mais cela implique une prise en charge difficile à organiser et onéreuse.
La Passerelle entend répondre aux problématiques de prise en charge et assurer la formation et la stabilité aux professionnels pour ainsi favoriser l'inclusion des personnes autistes dans tous les milieux de vie (inclusion sociale, scolaire et professionnelle) « Nous sommes de plus en plus écoutés grâce à l’Association. Les organismes publics sont plus réceptifs, collaborent davantage avec nous et les donateurs généreux mais le chemin est encore long » explique Laurent Millo.
L’autre objectif de la Passerelle est de promouvoir et encadrer la mise en place des prises en charges libérales avec des professionnels certifiés respectant les recommandations de la Haute Autorité de Santé notamment celle de la méthode comportementaliste ABA utilisée depuis de nombreuses années aux Etats-Unis et au Canada.
La France accuse un lourd retard sur ses voisins notamment dans la prise en charge des autistes en termes de scolarisation et de santé. Des associations comme La Passerelle sont indispensables pour sensibiliser le grand public à cette maladie mais comme nous l’explique Stéphanie Rocchi, enseignante et membre de l’Association « Il faut transformer l’écho en actions concrètes ».
Samedi soir, l’Association a choisi les voix du groupe Isulatine pour faire écho à son combat dont celle de Pascale Landolfini, enseignante et membre du groupe « En tant qu’artistes, on ne peut pas imaginer ne pas s‘impliquer dans la société. Le monde associatif est une alternative au monde d’aujourd’hui ».
La population corse a répondu présente. Les bancs de l’église de Saint Pancrace ont affiché complets prouvant encore une fois la générosité insulaire à l’égard des grandes causes.
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