La décision était attendue. La Cour d'appel administrative de Marseille a confirmé, ce jour, la décision du Tribunal Administratif de Bastia qui, dans son jugement du 3 octobre 2019, a annulé l'arrêté du 15 novembre 2016 du Préfet de la Haute-Corse. Elle autorise, donc, la Société Oriente Environnement à ouvrir et exploiter deux installations de stockage des déchets non dangereux et de déchets de terre amiantifères au lieu-dit Finocchietto, commune de Ghjuncaghju.
Le Collectif Tavignanu Vivu avait fait appel du jugement du TA de Bastia en date du 24 octobre 2019.
" Nous sommes tous forcément déçus de cette décision en appel du TA de Marseille, mais nullement abattus. Notre position est toujours la même et nous exploiterons toutes les voies de recours possibles. Il est difficile de réagir à chaud car nous venons tout juste de recevoir les conclusions et nous devons les décortiquer. Ce dimanche 5 juillet nous allons nous réunir pour discuter des suites à donner à cette affaire, en concertation avec l'association U Levante et la Collectivité de Corse. Ce que je peux vous dire, c'est que la population dans son ensemble est outrée de cette décision et qu'elle commence sérieusement à bouillir. Aussi nous ne sommes pas à l'abri d'électrons libres" précise à CNI une porte parole de l'association Tavignanu Vivu.
Le Collectif Tavignanu Vivu avait fait appel du jugement du TA de Bastia en date du 24 octobre 2019.
" Nous sommes tous forcément déçus de cette décision en appel du TA de Marseille, mais nullement abattus. Notre position est toujours la même et nous exploiterons toutes les voies de recours possibles. Il est difficile de réagir à chaud car nous venons tout juste de recevoir les conclusions et nous devons les décortiquer. Ce dimanche 5 juillet nous allons nous réunir pour discuter des suites à donner à cette affaire, en concertation avec l'association U Levante et la Collectivité de Corse. Ce que je peux vous dire, c'est que la population dans son ensemble est outrée de cette décision et qu'elle commence sérieusement à bouillir. Aussi nous ne sommes pas à l'abri d'électrons libres" précise à CNI une porte parole de l'association Tavignanu Vivu.