Si des ruptures d’approvisionnement ont été annoncées pour le vaccin Pfizer, « il n’y aura pas d’impact de cette diminution sur la Corse », c’est ce qu’indique la directrice de l’ARS Marie-Hélène Lecenne. Ainsi, du 18 janvier jusqu’au 22 février, 3 900 doses par semaine seront livrées sur l’île, « quand on compte la sixième dose contenue dans le flacon, cela fait 4 680 vaccins possibles par semaine » explique Marie-Hélène Lecenne. À partir du 1er mars, le rythme va monter en charge : « il sera augmenté de 23%, soit 7 000 possibilités de vaccins par semaine » précise la directrice de l’ARS.
Un approvisionnement déclenché par Pfizer au fil de l’eau, ce qui n’est pas sans provoquer certaines difficultés d’organisation : « Les doses de cette semaine devaient arriver hier et on a su une heure avant qu’elles arriveraient ce matin » illustre la directrice de l’ARS. Une logistique « au jour le jour » qui se doit respecter la chaîne du froid sinon le vaccin n’est pas valable. « C’est une organisation très lourde à gérer, il y a des listes d’attente et des reports, ce n’est pas toujours compris mais c’est incontournable » indique Marie-Hélène Lecenne.
À ce titre, la directrice de l’ARS appelle à davantage de compréhension : « La population est en attente de vaccination mais on ne pourra la satisfaire que progressivement » avoue t-elle. Notamment parce que dans les prochains jours, les personnes ayant déjà reçu une première dose seront prioritaires pour la deuxième, en raison de l’intervalle de 28 jours maximum à respecter entre deux doses. « Il ne sert à rien de se rendre dans un centre sans rendez-vous » insiste Marie-Hélène Lecenne. « Il faut expliquer à ceux qui attendent la première dose que c’est une garantie d’avoir une couverture vaccinale conforme » conclut-elle.
Un approvisionnement déclenché par Pfizer au fil de l’eau, ce qui n’est pas sans provoquer certaines difficultés d’organisation : « Les doses de cette semaine devaient arriver hier et on a su une heure avant qu’elles arriveraient ce matin » illustre la directrice de l’ARS. Une logistique « au jour le jour » qui se doit respecter la chaîne du froid sinon le vaccin n’est pas valable. « C’est une organisation très lourde à gérer, il y a des listes d’attente et des reports, ce n’est pas toujours compris mais c’est incontournable » indique Marie-Hélène Lecenne.
À ce titre, la directrice de l’ARS appelle à davantage de compréhension : « La population est en attente de vaccination mais on ne pourra la satisfaire que progressivement » avoue t-elle. Notamment parce que dans les prochains jours, les personnes ayant déjà reçu une première dose seront prioritaires pour la deuxième, en raison de l’intervalle de 28 jours maximum à respecter entre deux doses. « Il ne sert à rien de se rendre dans un centre sans rendez-vous » insiste Marie-Hélène Lecenne. « Il faut expliquer à ceux qui attendent la première dose que c’est une garantie d’avoir une couverture vaccinale conforme » conclut-elle.