Classé au patrimoine mondial de l’UNESCO pour la beauté de ses paysages, le golfe de Porto attire chaque année de nombreux visiteurs. Pourtant, les plages accessibles y sont rares. Pour remédier à cette situation, le Conservatoire du littoral, propriétaire des sites de Caspiu et de Gradelle, et la Collectivité de Corse, qui a acquis le site de Miserinu, ont entrepris des travaux de restauration menés dans le respect des techniques traditionnelles.
Le sentier littoral, accessible depuis Caspiu, permet de rejoindre la plage de Gradelle en une trentaine de minutes. Ce parcours traverse des paysages variés, entre jardins en terrasse, aghje restaurées et points de vue spectaculaires sur le golfe de Porto.
À Miserinu, une boucle de 3,8 km serpente entre mer et montagne, offrant des panoramas à couper le souffle sur le Capu d’Ortu. Cette balade, avec un dénivelé de 200 mètres, plonge le visiteur dans l’histoire locale, ponctuée par des vestiges agropastoraux.
Sur le site de Miserinu, on peut admirer des capanne aux toits étanchéifiés avec de la terra rossa, une argile rouge locale. Ce savoir-faire, hérité des bâtisseurs d’autrefois, s’inscrit dans une démarche de préservation des matériaux traditionnels et des pratiques ancestrales.
Avec un budget de 600 000 €, les travaux ont impliqué des entreprises locales spécialisées dans la restauration du bâti ancien et l’aménagement paysager. Une invitation à marcher, à contempler et à s’imprégner de l’histoire d’un territoire d’exception.
Le sentier littoral, accessible depuis Caspiu, permet de rejoindre la plage de Gradelle en une trentaine de minutes. Ce parcours traverse des paysages variés, entre jardins en terrasse, aghje restaurées et points de vue spectaculaires sur le golfe de Porto.
À Miserinu, une boucle de 3,8 km serpente entre mer et montagne, offrant des panoramas à couper le souffle sur le Capu d’Ortu. Cette balade, avec un dénivelé de 200 mètres, plonge le visiteur dans l’histoire locale, ponctuée par des vestiges agropastoraux.
Sur le site de Miserinu, on peut admirer des capanne aux toits étanchéifiés avec de la terra rossa, une argile rouge locale. Ce savoir-faire, hérité des bâtisseurs d’autrefois, s’inscrit dans une démarche de préservation des matériaux traditionnels et des pratiques ancestrales.
Avec un budget de 600 000 €, les travaux ont impliqué des entreprises locales spécialisées dans la restauration du bâti ancien et l’aménagement paysager. Une invitation à marcher, à contempler et à s’imprégner de l’histoire d’un territoire d’exception.