Mêler la forme légendaire qu’on lui connaît, sa texture moelleuse au goût de nos « castagne nustrale » tel est le pari osé par la biscuiterie « l’authentique » située sur la commune de Croccichja, en Castagniccia qui nous concocte une succulente « madalena » à la farine de châtaigne. Fief comme son nom l’indique, du célèbre « arburu à pane » immortalisé par le célèbre « lamentu di u Castagnu », cette région abrite, il est vrai, et malgré les soubresauts de l’histoire et la mondialisation, des châtaigneraies à perte de vue. Et il faut bien convenir que ce petit biscuit est entrain, tout doucement, de s’imposer sur le marché. Et pour cause ! une forme et une texture connue, un nom à consonance « nustrale » tout comme le logo (la femme corse de l’époque de nos anciens ) mais, plus que tout un goût authentique qui donne envie d’y revenir. Logique de voir le petit biscuit corse envahir l’île. Une promotion facilité par un bien beau concept, « nustrale » lui aussi : da sparte.
Une interface de petits producteurs
Une marque régionale destinée à promouvoir les petits producteurs. « Ceux qui n’ont jamais voulu être distribués ou qui ne l’ont jamais été », rappelle André Paolantoni, responsable de la structure. Car si la petite « madalena » fait fureur (on ne la trouve pourtant que dans une vingtaine de points de vente), elle a vocation à être suivie. Entendez par là que d’autres produits, salés ou sucrés vont, à terme, lui emboiter le pas. « C’est notre vocation, rajoute André Paolantoni, nous voulons être l’interface des petits producteurs. On note, en Corse, un manque de proximité qui est préjudiciable. Nous allons mettre en valeur, ces savoir-faire ancestraux. Pour cela, nous avons besoin de plus de proximité et de choses nouvelles. Pourquoi pas une ou deux foires annuelles dédiées aux petits producteurs. »
Certains artisans et/ou producteurs ont déjà été séduits par cette démarche novatrice.
Mais en attendant, c’est bel et bien « Madalena » la reine…
Une interface de petits producteurs
Une marque régionale destinée à promouvoir les petits producteurs. « Ceux qui n’ont jamais voulu être distribués ou qui ne l’ont jamais été », rappelle André Paolantoni, responsable de la structure. Car si la petite « madalena » fait fureur (on ne la trouve pourtant que dans une vingtaine de points de vente), elle a vocation à être suivie. Entendez par là que d’autres produits, salés ou sucrés vont, à terme, lui emboiter le pas. « C’est notre vocation, rajoute André Paolantoni, nous voulons être l’interface des petits producteurs. On note, en Corse, un manque de proximité qui est préjudiciable. Nous allons mettre en valeur, ces savoir-faire ancestraux. Pour cela, nous avons besoin de plus de proximité et de choses nouvelles. Pourquoi pas une ou deux foires annuelles dédiées aux petits producteurs. »
Certains artisans et/ou producteurs ont déjà été séduits par cette démarche novatrice.
Mais en attendant, c’est bel et bien « Madalena » la reine…