Dénonçant une violence policière et notamment un tir de flash ball, Maxime Beux avait déposé plainte.
Or aujourd’hui le dossier piétine au grand dam de la victime, de ses défenseurs et de la Ligue des droits de l’homme en Corse. Le procureur de Reims avait à l’époque indiqué que les vidéos de surveillance ne pourraient être utilisées et que la justice se baserait sur l’expertise médicale.
Si celle-ci a été pratiquée voilà plusieurs mois, en juin 2016, à ce jour, le dossier, n’ a pas avancé.
« Bloquer les résultats des expertises médicales n’est pas très sain » a ainsi déploré André Paccou qui a annoncé avoir écrit la nouvelle Garde des Sceaux pour faire bouger les choses.
« Il y a eu beaucoup d’agitation dans ce dossier avec des évènements qui ont eu lieu en marge de celui-ci, mais sur le dossier lui-même ça n’avance pas. Il y a aujourd’hui un gros sentiment d’injustice ». La LDLH de Corse espère aussi que le changement de procureur et de juge à Reims sera aussi à même de faire avancer le dossier.
André Paccou attend aujourd’hui une réponse du ministère de la Justice et n’exclut de faire intervenir aussi le président national de la LDLH. « On s’est rapproché d’autres collectifs qui luttent contre les bavures policières. On s’est aperçu qu’à chaque fois le même schéma était rendu , on rend coupable les victimes. Aujourd’hui il y a tellement eu d’agitation autour de notre dossier que pour l’opinion publique l’affaire devient inaudible ».
Or aujourd’hui le dossier piétine au grand dam de la victime, de ses défenseurs et de la Ligue des droits de l’homme en Corse. Le procureur de Reims avait à l’époque indiqué que les vidéos de surveillance ne pourraient être utilisées et que la justice se baserait sur l’expertise médicale.
Si celle-ci a été pratiquée voilà plusieurs mois, en juin 2016, à ce jour, le dossier, n’ a pas avancé.
« Bloquer les résultats des expertises médicales n’est pas très sain » a ainsi déploré André Paccou qui a annoncé avoir écrit la nouvelle Garde des Sceaux pour faire bouger les choses.
« Il y a eu beaucoup d’agitation dans ce dossier avec des évènements qui ont eu lieu en marge de celui-ci, mais sur le dossier lui-même ça n’avance pas. Il y a aujourd’hui un gros sentiment d’injustice ». La LDLH de Corse espère aussi que le changement de procureur et de juge à Reims sera aussi à même de faire avancer le dossier.
André Paccou attend aujourd’hui une réponse du ministère de la Justice et n’exclut de faire intervenir aussi le président national de la LDLH. « On s’est rapproché d’autres collectifs qui luttent contre les bavures policières. On s’est aperçu qu’à chaque fois le même schéma était rendu , on rend coupable les victimes. Aujourd’hui il y a tellement eu d’agitation autour de notre dossier que pour l’opinion publique l’affaire devient inaudible ».