Des coups de crayon minutieux. Quelques mots dédicacés sur un nouvel album acquis quelques instants auparavant, en prélude à une lecture que certains sont déjà impatients de commencer. Et un public conquis qui repart des bulles plein les yeux. Il y avait foule ce week-end au Palais des Congrès d’Ajaccio à l’occasion du festival international de la Bande Dessinée d’Ajaccio et de la Corse du Sud. Pour cette douzième édition, l’association Case et Bulle avait convié plus d’une trentaine de scénaristes, dessinateurs et coloristes, parfois venus de loin, à rencontrer le public ajaccien.
A l’heure où le festival s’achève, et où les derniers albums se referment, Maria Lanfranchi, présidente de l’association se réjouit: « Le salon n’a pas désemplit du week end. Nous sommes contents. Les auteurs aussi. Ils ont pu rencontrer le public, qui a pris le temps de discuter avec eux. Mais ils ont aussi pu avoir une sorte de rendez-vous professionnel, où ils ont pu échanger des projets ». Un carton plein donc pour ce rendez vous désormais bien ancré dans le paysage ajaccien.
Particulièrement mises à l’honneur cette année, les nombreuses BD sur l’histoire corse ont su faire mouche dans le cœur des visiteurs. « Les jeunes y redécouvrent une partie de l’histoire corse », s’enthousiasme Maria Lanfranchi devant les albums sur Sampiero Corso, ou Pascal Paoli. Mais la « star » de cette année c’est surtout le nouvel opus de Frédéric Bertocchini, Michel Espinosa et Nuria Sayago, sorti il y a de cela quelques semaines : Aleria 1975. Il n’y a qu’à voir comment les visiteurs se l’arrachent ! Edmond Simeoni, présent ce dimanche sur le festival, n’en finit d’ailleurs pas de dédicacer la bande dessinée relatant les évènements dont il a été le protagoniste il y a 39 ans.
Mais une autre BD historique a également été particulièrement distinguée ce dimanche : Aiò Zitelli de Frédéric Bertocchini et Iñaki Holgado a remporté le prix public, qui permettait pour la première fois aux lecteurs de voter pour l’album qu’ils ont préféré en 2014. Un choix porté sur cet album sur les poilus corses de la guerre de 1914-1918, qui semble parfaitement se fondre dans la tendance du moment. « Cela ne me surprend pas. On a eu beaucoup d’anciens combattants qui sont venus ce matin. Et puis cela coïncide avec le centenaire de la Grande guerre », explique Maria Lanfranchi.
Et, plus loin, le festival aussi été l’occasion de partager des moments plus ludiques autour de différents ateliers qui ont jalonné ces trois jours. Ecriture, généalogie et autres activités artistiques n’ont eu de cesse de ravir les grands comme les plus petits.
En somme un grand moment d’échange et de découverte, notamment pour les nombreux scolaires qui ont pu visiter le festival vendredi. « On a réussi notre pari de partager la culture », conclut la présidente de l’association Case et Bulle.
A l’heure où le festival s’achève, et où les derniers albums se referment, Maria Lanfranchi, présidente de l’association se réjouit: « Le salon n’a pas désemplit du week end. Nous sommes contents. Les auteurs aussi. Ils ont pu rencontrer le public, qui a pris le temps de discuter avec eux. Mais ils ont aussi pu avoir une sorte de rendez-vous professionnel, où ils ont pu échanger des projets ». Un carton plein donc pour ce rendez vous désormais bien ancré dans le paysage ajaccien.
Particulièrement mises à l’honneur cette année, les nombreuses BD sur l’histoire corse ont su faire mouche dans le cœur des visiteurs. « Les jeunes y redécouvrent une partie de l’histoire corse », s’enthousiasme Maria Lanfranchi devant les albums sur Sampiero Corso, ou Pascal Paoli. Mais la « star » de cette année c’est surtout le nouvel opus de Frédéric Bertocchini, Michel Espinosa et Nuria Sayago, sorti il y a de cela quelques semaines : Aleria 1975. Il n’y a qu’à voir comment les visiteurs se l’arrachent ! Edmond Simeoni, présent ce dimanche sur le festival, n’en finit d’ailleurs pas de dédicacer la bande dessinée relatant les évènements dont il a été le protagoniste il y a 39 ans.
Mais une autre BD historique a également été particulièrement distinguée ce dimanche : Aiò Zitelli de Frédéric Bertocchini et Iñaki Holgado a remporté le prix public, qui permettait pour la première fois aux lecteurs de voter pour l’album qu’ils ont préféré en 2014. Un choix porté sur cet album sur les poilus corses de la guerre de 1914-1918, qui semble parfaitement se fondre dans la tendance du moment. « Cela ne me surprend pas. On a eu beaucoup d’anciens combattants qui sont venus ce matin. Et puis cela coïncide avec le centenaire de la Grande guerre », explique Maria Lanfranchi.
Et, plus loin, le festival aussi été l’occasion de partager des moments plus ludiques autour de différents ateliers qui ont jalonné ces trois jours. Ecriture, généalogie et autres activités artistiques n’ont eu de cesse de ravir les grands comme les plus petits.
En somme un grand moment d’échange et de découverte, notamment pour les nombreux scolaires qui ont pu visiter le festival vendredi. « On a réussi notre pari de partager la culture », conclut la présidente de l’association Case et Bulle.
Manon PERELLI