Le CAB qui, champion de France de CFA, accède au championnat National; le GFCA auquel on n'accorde pas le titre qui lui revient mais qui accède à Ligue 2; le Sporting champion de France de Ligue 2, après avoir remporté celui de National la saison précédente, qui obtient son ticket pour la Ligue 1; l'ACA qui conserve sa place dans cette même compétition : il a été vraiment flamboyant le printemps du football corse.
Mais que l'hiver a été rude. Pour le Sporting notamment. Sanctionné plus que de raison. Difficile aussi le retour en Ligue 2 pour le GFCA. Et que dire des turbulences de l'ACA…
Et aujourd'hui le printemps ne s'annonce pas meilleur.
En attendant la suite qui sera donnée au dossier des "incidents" qui ont marqué la fin du derby, le Sporting va devoir défendre ses chances dans la course au maintien sans plusieurs de ses meilleurs joueurs. Avec au calendrier des adversaires comme Bordeaux ou Lyon, ce n'est pas ce qui pouvait lui arriver de mieux.
L'ACA est un peu dans la même situation. Il devra faire face aux sanctions du derby et, lui aussi, attendre de savoir quelles suites donnera la LFP aux incidents d'après-match.
Nuages noirs
"La mise en instruction" - c'est de la sorte que la LFP qualifie les dossiers qui méritent toute son attention - ne constitue sans doute pas un bon signe, d'autant plus que le SCB, comme l'ACA, sont sur le coup d'un sursis (retrait de points) et que le Sporting sort d'une trop longue période de punition.
Bref, c'est un peu comme si des nuages noirs, annonciateur d'une tempête que nul ne souhaite, s'amoncelaient au-dessus de Furiani et de Timizzolu.
Les nuages sont encore plus noirs du côté de Mezzavia. Là, outre la situation sportive qui se dégrade semaine après semaine, c'est le terrain qui vient d'être suspendu à titre conservatoire et ce sont trois dirigeants - le président-délégué et le président de l'association GFCA - qui ont été suspendus de toutes fonctions officielles.
La tête sous l'eau
Aujourd'hui c'est un peu comme si le football corse avait la tête sous l'eau et que nulle main secourable ne venait le sortir de ce mauvais pas, bien au contraire.
Il faudrait peut-être qu'un jour que tous ceux qui rendent ces si mauvais services à nos clubs réflèchissent une seconde aux conséquences que peuvent, générer aujourd'hui, ces faits et gestes qui jettent l'opprobe sur le football corse dont certains médias nationaux se sont plaisent à répercuter l'image souillée.
Aujourd'hui, quand bien même les sanctions apparaitraient-elles lourdes - on peut toujours les contester devant les instances sportives et administratives - il convient de faire le dos rond et d'essayer de sauver sur le terrain ce qui peut encore l'être : un place renouvelée en Ligue 1 pour l'ACA et le Sporting et le maintien en Ligue 2 pour le GFCA.
Pourrait-on imaginer meilleur pied de nez à opposer à tous ceux qui rêvent - et ils sont nombreux - de voir la Corse rayée du monde football professionnel ?
Mais que l'hiver a été rude. Pour le Sporting notamment. Sanctionné plus que de raison. Difficile aussi le retour en Ligue 2 pour le GFCA. Et que dire des turbulences de l'ACA…
Et aujourd'hui le printemps ne s'annonce pas meilleur.
En attendant la suite qui sera donnée au dossier des "incidents" qui ont marqué la fin du derby, le Sporting va devoir défendre ses chances dans la course au maintien sans plusieurs de ses meilleurs joueurs. Avec au calendrier des adversaires comme Bordeaux ou Lyon, ce n'est pas ce qui pouvait lui arriver de mieux.
L'ACA est un peu dans la même situation. Il devra faire face aux sanctions du derby et, lui aussi, attendre de savoir quelles suites donnera la LFP aux incidents d'après-match.
Nuages noirs
"La mise en instruction" - c'est de la sorte que la LFP qualifie les dossiers qui méritent toute son attention - ne constitue sans doute pas un bon signe, d'autant plus que le SCB, comme l'ACA, sont sur le coup d'un sursis (retrait de points) et que le Sporting sort d'une trop longue période de punition.
Bref, c'est un peu comme si des nuages noirs, annonciateur d'une tempête que nul ne souhaite, s'amoncelaient au-dessus de Furiani et de Timizzolu.
Les nuages sont encore plus noirs du côté de Mezzavia. Là, outre la situation sportive qui se dégrade semaine après semaine, c'est le terrain qui vient d'être suspendu à titre conservatoire et ce sont trois dirigeants - le président-délégué et le président de l'association GFCA - qui ont été suspendus de toutes fonctions officielles.
La tête sous l'eau
Aujourd'hui c'est un peu comme si le football corse avait la tête sous l'eau et que nulle main secourable ne venait le sortir de ce mauvais pas, bien au contraire.
Il faudrait peut-être qu'un jour que tous ceux qui rendent ces si mauvais services à nos clubs réflèchissent une seconde aux conséquences que peuvent, générer aujourd'hui, ces faits et gestes qui jettent l'opprobe sur le football corse dont certains médias nationaux se sont plaisent à répercuter l'image souillée.
Aujourd'hui, quand bien même les sanctions apparaitraient-elles lourdes - on peut toujours les contester devant les instances sportives et administratives - il convient de faire le dos rond et d'essayer de sauver sur le terrain ce qui peut encore l'être : un place renouvelée en Ligue 1 pour l'ACA et le Sporting et le maintien en Ligue 2 pour le GFCA.
Pourrait-on imaginer meilleur pied de nez à opposer à tous ceux qui rêvent - et ils sont nombreux - de voir la Corse rayée du monde football professionnel ?