Aussi, c'est à dessein que nous avons décidé de conserver le contenu précédent jusqu'à l'heure du coup d'envoi de Sporting-Nice.
Afin que nul n'oublie la galère qui a été celle du SCB depuis le 12 Décembre.
La galère des déplacements. Des résultats qui, c'est évident, auraient été bien meilleurs si Hantz et ses joueurs avaient évolué à Furiani.
4 points en quatre matchs à "domicile", la moisson, c'est vrai, n'a pas été fameuse.
Du coup la position du club s'est quelque peu détériorée au classement où il n'y plus guère que trois points qui séparent les "bleus" du premier relégable.
Mais le Sporting a su porter ce lourd fardeau sans jamais plier l'échine.
"Le club ne s'est pas délité et il est 13e" notaient, justement, l'autre jour, ses dirigeants.
Il n'en demeure pas moins qu'une épée de Damoclès est toujours suspendue au dessus de sa tête.
Et que les "grands" dirigeants de notre football ne manqueront de le décapiter dès lors que la moindre incartade aura été constatée à Furiani avant, pendant et après un match du Sporting.
Désormais, à Furiani, il faudra savoir raison garder en toute circonstance. Mettre la pression sur l'adversaire ? Oui. Mais une pression positive.
Réfléchir avant d'agir.
Et se souvenir de Gueugnon et d'Auxerre, étapes parfois douloureuses des dernières galères du Sporting.
Aujourd'hui, il faut le garder de nouvelles mésaventures de ce type car, nul ne supporterait qu'il en aille autrement…
Ne pas oublier pour ne pas replonger : c'est le seul mot d'ordre qui, dorénavant et en permanence, doit avoir cours au stade Armand-Cesari.
Qu'on se le dise !
Afin que nul n'oublie la galère qui a été celle du SCB depuis le 12 Décembre.
La galère des déplacements. Des résultats qui, c'est évident, auraient été bien meilleurs si Hantz et ses joueurs avaient évolué à Furiani.
4 points en quatre matchs à "domicile", la moisson, c'est vrai, n'a pas été fameuse.
Du coup la position du club s'est quelque peu détériorée au classement où il n'y plus guère que trois points qui séparent les "bleus" du premier relégable.
Mais le Sporting a su porter ce lourd fardeau sans jamais plier l'échine.
"Le club ne s'est pas délité et il est 13e" notaient, justement, l'autre jour, ses dirigeants.
Il n'en demeure pas moins qu'une épée de Damoclès est toujours suspendue au dessus de sa tête.
Et que les "grands" dirigeants de notre football ne manqueront de le décapiter dès lors que la moindre incartade aura été constatée à Furiani avant, pendant et après un match du Sporting.
Désormais, à Furiani, il faudra savoir raison garder en toute circonstance. Mettre la pression sur l'adversaire ? Oui. Mais une pression positive.
Réfléchir avant d'agir.
Et se souvenir de Gueugnon et d'Auxerre, étapes parfois douloureuses des dernières galères du Sporting.
Aujourd'hui, il faut le garder de nouvelles mésaventures de ce type car, nul ne supporterait qu'il en aille autrement…
Ne pas oublier pour ne pas replonger : c'est le seul mot d'ordre qui, dorénavant et en permanence, doit avoir cours au stade Armand-Cesari.
Qu'on se le dise !