Depuis le 17 mars dernier, jour de la mise en place du confinement pour lutter contre la propagation de l'épidémie de coronavirus en France, plus de 225.000 procès-verbaux ont été dressés. C'est le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui, invité jeudi soir sur France 2 dans l'émission Vous avez la parole, a annoncé ce chiffre en précisant que depuis le début du confinement, 3,7 millions de contrôles avaient été réalisés.
En Haute-Corse depuis le début du confinement 1071 personnes ont été verbalisées sur 30.745 contrôles effectués et , malgré le durcissement des sanctions pour non-respect du confinement entrées en vigueur ce week-end, ce dimanche 29 mars, 91 procès-verbaux ont été dressés sur 1318 contrôles soit le 6,9% des personnes controlées ont violé les consignes de confinement contre une moyenne de 3,3% des jours precedents.
On rappelle que selon le nouveau décret, signé par le Premier ministre et la ministre de la Justice et publié ce dimanche au Journal officiel (JO), le montant de l’amende pour non-respect du confinement passe désormais à 200 euros, et 450 euros en cas de majoration si elle n’est pas payée dans les délais.
Cela en cas de récidive dans les 15 jours, seulement.
En cas de verbalisation à plus de trois reprises dans un délai de 30 jours, le délit peut alors être puni d’une amende de 3.750 euros et être passible de 6 mois d’emprisonnement.
En Haute-Corse depuis le début du confinement 1071 personnes ont été verbalisées sur 30.745 contrôles effectués et , malgré le durcissement des sanctions pour non-respect du confinement entrées en vigueur ce week-end, ce dimanche 29 mars, 91 procès-verbaux ont été dressés sur 1318 contrôles soit le 6,9% des personnes controlées ont violé les consignes de confinement contre une moyenne de 3,3% des jours precedents.
On rappelle que selon le nouveau décret, signé par le Premier ministre et la ministre de la Justice et publié ce dimanche au Journal officiel (JO), le montant de l’amende pour non-respect du confinement passe désormais à 200 euros, et 450 euros en cas de majoration si elle n’est pas payée dans les délais.
Cela en cas de récidive dans les 15 jours, seulement.
En cas de verbalisation à plus de trois reprises dans un délai de 30 jours, le délit peut alors être puni d’une amende de 3.750 euros et être passible de 6 mois d’emprisonnement.