Si ce n’est pas la première fois que des victimes montent au créneau pour dénoncer des violences, les actions de celles qui dénoncent sous me hashtag #Iwas, prennent toujours plus de poids.
Un mouvement né au début du mois aux Etats-Unis et qui a vite traversé l’Atlantique pour se répandre sur les réseaux sociaux en France. #IWas (« J’avais » ou « J’étais »), suivi de l’âge au moment des faits, permet aux victimes de violences sexuelles de partager ce qu’elles ont vécu. A travers ce hashtag, des victimes de violences sexuelles témoignent d’une agression, d’un attouchement, d’un viol, et racontent leur expérience, pour briser le silence. La parole se libère. Y compris en Corse où le 21 juin dernier à l’appel de plusieurs victimes, hommes et femmes, de violences sexuelles, environ 400 personnes ont défilé dans les rues de Bastia "pour briser le silence".
Demain c'est à Ajaccio toujours à 18 heures et devant les grilles du Tribunal de Grande Instance les femmes des Collages Féminicides Corse, l'Association Donne è Surelle et les fondateurs du compte @iwascorsica ont organisé ce deuxième rassemblement.
Un mouvement né au début du mois aux Etats-Unis et qui a vite traversé l’Atlantique pour se répandre sur les réseaux sociaux en France. #IWas (« J’avais » ou « J’étais »), suivi de l’âge au moment des faits, permet aux victimes de violences sexuelles de partager ce qu’elles ont vécu. A travers ce hashtag, des victimes de violences sexuelles témoignent d’une agression, d’un attouchement, d’un viol, et racontent leur expérience, pour briser le silence. La parole se libère. Y compris en Corse où le 21 juin dernier à l’appel de plusieurs victimes, hommes et femmes, de violences sexuelles, environ 400 personnes ont défilé dans les rues de Bastia "pour briser le silence".
Demain c'est à Ajaccio toujours à 18 heures et devant les grilles du Tribunal de Grande Instance les femmes des Collages Féminicides Corse, l'Association Donne è Surelle et les fondateurs du compte @iwascorsica ont organisé ce deuxième rassemblement.