« Au lendemain de l’attentat visant les biens de Pierre Ferracci sur la commune de Bonifacio, je tiens à condamner cette action qui ne saurait constituer une solution au règlement des conflits et interprétations en matière d’urbanisme et d’aménagement du territoire, d’autant plus que la justice est déjà saisie et mobilisée sur ce dossier.
La destruction des biens d’autrui et le recours à ce genre de pratiques sont à bannir. La réactivation de la violence clandestine, ne serait-ce que ponctuelle, est profondément dommageable pour la Corse.
Je me dois d’avoir une pensée pour Albert Ferracci qui a tant œuvré, en des temps bien sombres, pour que la Corse puisse se soustraire à l’arbitraire et à la cruauté durant la Seconde Guerre mondiale. Cette exaction est aux antipodes du respect que la mémoire collective insulaire lui doit.
Je renouvèle à son fils Pierre toute ma solidarité et ma sympathie.»
La destruction des biens d’autrui et le recours à ce genre de pratiques sont à bannir. La réactivation de la violence clandestine, ne serait-ce que ponctuelle, est profondément dommageable pour la Corse.
Je me dois d’avoir une pensée pour Albert Ferracci qui a tant œuvré, en des temps bien sombres, pour que la Corse puisse se soustraire à l’arbitraire et à la cruauté durant la Seconde Guerre mondiale. Cette exaction est aux antipodes du respect que la mémoire collective insulaire lui doit.
Je renouvèle à son fils Pierre toute ma solidarité et ma sympathie.»