Dès 8h30, les premiers invités se pressaient dans la salle du Préau pour assister à cette journée internationale de la femme.
Louis Le Franc, préfet de Haute-Corse remerciait chaleureusement le maire de Calenzana Pierre Guidoni et sa municipalité pour leur accueil »
"C’est la première fois que cette journée internationale des droits des femmes est organisée au cœur de la Balagne. Je tiens à saluer l’initiative et l’implication de l’association « Entr’aide et loisirs » qui organise cette journée avec le soutien de la mairie de Calenzana et l’appui de la Mission Départementale aux Droits des Femmes.
La journée du 8 mars, adoptée par une résolution de l’ONU en 1977 est célébrée en France depuis 1982, n’a de sens que si un temps collectif de réflexion sur la situation du droit des femmes dans notre société lui est consacré, et que si ce temps est suivi d’initia tive concrètes, je pense en particulier à la place des femmes dans la société et à toutes les questions qui nous interpellent collectivement parce qu’elles restent non résolues ou imparfaitement résolues.
C’est en effet en se mobilisant sur le terrain, en allant à la rencontre des associations, en apportant une réponse aux femmes en difficulté que leurs droits peuvent progresser avec le concours très souvent déterminant de la puissance publique Etat et Collectivités territoriales. Depuis 1982, bien des progrès réels ont été réalisés, pour autant, force est de constater qu’il reste beaucoup à faire et c’est en partie ce qui doit nous guider aujourd’hui.
S’agissant de l’égalité hommes-femmes, par exemple, qu’il s’agisse des différences de salaires à niveau égal de compétences ou de qualifications, de la répartition des tâches logistiques au foyer familial, de l’accès aux postes à responsabilité, les femmes sont encore touchés par de nombreuses inégalités . Dans un autre registre, celui des violences subies par les femmes et leur forme la plus insupportable, celle des violences sexuelles, les atteintes sont nombreuses, beaucoup plus nombreuses que celles effectivement déclarées aux associations et services de police ou de gendarmerie. La manifestation qui nous réunit aujourd’hui s’inscrit donc pleinement dans les objectifs de politique publique de l’Etat en faveur de l’égalité entre les femmes et les hommes, aujourd’hui priorité gouvernementale.
Le retour d’un ministère des droits des femmes disparu depuis plus de 20 ans, témoigne de cet engagement au plus haut niveau de l’Etat en faveur des femmes. Une politique forte et ambitieuse va être engagée avec force sur le territoire.
Une politique ambitieuse, parce qu’elle a pour objectif de lutter contre toutes les formes d’inégalités dont sont victimes les femmes. Pour rendre l’égalité en droit, il est primordial de mener le combat de « La troisième génération des droits des femmes », celui d’un changement des mentalités. Après avoir proclamé l’égalité de tous les droits, la République doit poursuivre son action afin que l’égalité des droits devienne une égalités dans les faits.
Cette nouvelle étape doit nous conduire à construire une société de l’égalité réelle, dans laquelle les hommes et les femmes sont les acteurs égaux d’une société qu’ils incarnent indissociablement.
Cet objectif serait atteint grâce à une politique forte qui, sous l’égide du ministère des droits des femmes, mobilise l’ensemble du gouvernement ».
Un haut fonctionnaire à l’égalité des droits auprès de chaque ministre
Après avoir rappelé la désignation d’un haut-fonctionnaire à l’égalité des droits auprès de chaque ministre et la réactivation du comité interministériel aux droits des femmes, réuni le 30 novembre 2012, sous l’autorité du Premier ministre, le préfet de Haute-Corse a évoqué le plan d’action en faveur de l’égalité les hommes et les femmes ou chaque ministère à sa place. Ce plan prévoit un ensemble de mesures immédiates qui ont été décidées autour des objectifs suivants : s’attaquer aux inégalités d’habitudes dès le plus jeune âge, alléger les contraintes de la vie quotidienne des femmes et lever les obstacles à l’égalité professionnelle, placer la réduction des inégalités entre les femmes et les hommes au cœur de la démocratie, protéger les femmes contre les violences, décliner l’égalité dans tous les pans de l’action publique, affirmer les droits des femmes au niveau international…
M. Louis Le Franc poursuivait : « En Haute-Corse, l’Etat s’est engagé résulument à mettre en œuvre cette politique publique essentielle de l’Etat et nous l’évoquerons autour des tables rondes de cette journée ».
Et de conclure « Au regard du programme de cette journée, des débats annoncés, j’ai la conviction que des réponses concrètes seront apportées aux attentes légitimes des femmes, ici à Calenzana, en écho aux manifestations qui se déroulent actuellement partout en France ».
Pierre Guidoni : « Il y a encore beaucoup trop de femmes soumises, tétanisées, dévalorisées et agressées verbalement et physiquement »
Pierre Guidoni, maire et conseiller général de Calenzana a rappelé les grandes lignes de cette journée du 8 mars et évoqué les inégalités.
« J’ai malheureusement pu constater ces différences à plusieurs reprises et dans plusieurs secteurs comme les collectivités aux postes de direction de la fonction publique et du secteur privé.
C’est dans le milieu rural que l’on distingue les inégalités les plus importantes, or une femme sur quatre dans le monde vit en milieu rural.
Aujourd’hui, près d’un demi milliard de femmes travaillent sur de petites exploitations ou des terres qui ne leur appartiennent pas.
Mesdames, Messieurs, si nous leur donnions accès aux ressources productrices, elle pourraient augmenter les rendements agricoles de 4% et ainsi nourrir plus de 150 millions de personnes touchées par la famine.
Avant de conclure, je voudrais laisser parler mon cœur car lorsqu’on esrt premier magistrat d’une commune, certes, on gère les affaires courante mais surtout les affaires sociales et je voudrais dire aujourd’hui, haut et fort, qu’il y a encore beaucoup trop de femmes soumises, tétanisées, dévalorisées et agressées verbalement et physiquement. Il est urgent de les protéger, de les soutenir et les orienter vers des voies nouvelles où elle trouveront respect, amour et considération.
Mesdames et Messieurs, malheureusement, plus de cent ans après sa création, la journée de la femme est encore plus importante que jamais et elle doit servir à soulever les interrogations, les prises de conscience afin que les jours à venir soient baignés de changements.
Je voudrais aussi adresser mes félicitations à Patricia Maestracci et à toute son équipe de l’association Entr’aide et loisirs qui ont organisé avec beaucoup de dévouement et de passion cette journée internationale des droits des femmes.
Je vous remercie de votre attention et vous garantis que je suis un maire heureux et fier d’accueillir tout ce beau monde pour la journée de la femme 2013 à Calenzana."
Louis Le Franc, préfet de Haute-Corse remerciait chaleureusement le maire de Calenzana Pierre Guidoni et sa municipalité pour leur accueil »
"C’est la première fois que cette journée internationale des droits des femmes est organisée au cœur de la Balagne. Je tiens à saluer l’initiative et l’implication de l’association « Entr’aide et loisirs » qui organise cette journée avec le soutien de la mairie de Calenzana et l’appui de la Mission Départementale aux Droits des Femmes.
La journée du 8 mars, adoptée par une résolution de l’ONU en 1977 est célébrée en France depuis 1982, n’a de sens que si un temps collectif de réflexion sur la situation du droit des femmes dans notre société lui est consacré, et que si ce temps est suivi d’initia tive concrètes, je pense en particulier à la place des femmes dans la société et à toutes les questions qui nous interpellent collectivement parce qu’elles restent non résolues ou imparfaitement résolues.
C’est en effet en se mobilisant sur le terrain, en allant à la rencontre des associations, en apportant une réponse aux femmes en difficulté que leurs droits peuvent progresser avec le concours très souvent déterminant de la puissance publique Etat et Collectivités territoriales. Depuis 1982, bien des progrès réels ont été réalisés, pour autant, force est de constater qu’il reste beaucoup à faire et c’est en partie ce qui doit nous guider aujourd’hui.
S’agissant de l’égalité hommes-femmes, par exemple, qu’il s’agisse des différences de salaires à niveau égal de compétences ou de qualifications, de la répartition des tâches logistiques au foyer familial, de l’accès aux postes à responsabilité, les femmes sont encore touchés par de nombreuses inégalités . Dans un autre registre, celui des violences subies par les femmes et leur forme la plus insupportable, celle des violences sexuelles, les atteintes sont nombreuses, beaucoup plus nombreuses que celles effectivement déclarées aux associations et services de police ou de gendarmerie. La manifestation qui nous réunit aujourd’hui s’inscrit donc pleinement dans les objectifs de politique publique de l’Etat en faveur de l’égalité entre les femmes et les hommes, aujourd’hui priorité gouvernementale.
Le retour d’un ministère des droits des femmes disparu depuis plus de 20 ans, témoigne de cet engagement au plus haut niveau de l’Etat en faveur des femmes. Une politique forte et ambitieuse va être engagée avec force sur le territoire.
Une politique ambitieuse, parce qu’elle a pour objectif de lutter contre toutes les formes d’inégalités dont sont victimes les femmes. Pour rendre l’égalité en droit, il est primordial de mener le combat de « La troisième génération des droits des femmes », celui d’un changement des mentalités. Après avoir proclamé l’égalité de tous les droits, la République doit poursuivre son action afin que l’égalité des droits devienne une égalités dans les faits.
Cette nouvelle étape doit nous conduire à construire une société de l’égalité réelle, dans laquelle les hommes et les femmes sont les acteurs égaux d’une société qu’ils incarnent indissociablement.
Cet objectif serait atteint grâce à une politique forte qui, sous l’égide du ministère des droits des femmes, mobilise l’ensemble du gouvernement ».
Un haut fonctionnaire à l’égalité des droits auprès de chaque ministre
Après avoir rappelé la désignation d’un haut-fonctionnaire à l’égalité des droits auprès de chaque ministre et la réactivation du comité interministériel aux droits des femmes, réuni le 30 novembre 2012, sous l’autorité du Premier ministre, le préfet de Haute-Corse a évoqué le plan d’action en faveur de l’égalité les hommes et les femmes ou chaque ministère à sa place. Ce plan prévoit un ensemble de mesures immédiates qui ont été décidées autour des objectifs suivants : s’attaquer aux inégalités d’habitudes dès le plus jeune âge, alléger les contraintes de la vie quotidienne des femmes et lever les obstacles à l’égalité professionnelle, placer la réduction des inégalités entre les femmes et les hommes au cœur de la démocratie, protéger les femmes contre les violences, décliner l’égalité dans tous les pans de l’action publique, affirmer les droits des femmes au niveau international…
M. Louis Le Franc poursuivait : « En Haute-Corse, l’Etat s’est engagé résulument à mettre en œuvre cette politique publique essentielle de l’Etat et nous l’évoquerons autour des tables rondes de cette journée ».
Et de conclure « Au regard du programme de cette journée, des débats annoncés, j’ai la conviction que des réponses concrètes seront apportées aux attentes légitimes des femmes, ici à Calenzana, en écho aux manifestations qui se déroulent actuellement partout en France ».
Pierre Guidoni : « Il y a encore beaucoup trop de femmes soumises, tétanisées, dévalorisées et agressées verbalement et physiquement »
Pierre Guidoni, maire et conseiller général de Calenzana a rappelé les grandes lignes de cette journée du 8 mars et évoqué les inégalités.
« J’ai malheureusement pu constater ces différences à plusieurs reprises et dans plusieurs secteurs comme les collectivités aux postes de direction de la fonction publique et du secteur privé.
C’est dans le milieu rural que l’on distingue les inégalités les plus importantes, or une femme sur quatre dans le monde vit en milieu rural.
Aujourd’hui, près d’un demi milliard de femmes travaillent sur de petites exploitations ou des terres qui ne leur appartiennent pas.
Mesdames, Messieurs, si nous leur donnions accès aux ressources productrices, elle pourraient augmenter les rendements agricoles de 4% et ainsi nourrir plus de 150 millions de personnes touchées par la famine.
Avant de conclure, je voudrais laisser parler mon cœur car lorsqu’on esrt premier magistrat d’une commune, certes, on gère les affaires courante mais surtout les affaires sociales et je voudrais dire aujourd’hui, haut et fort, qu’il y a encore beaucoup trop de femmes soumises, tétanisées, dévalorisées et agressées verbalement et physiquement. Il est urgent de les protéger, de les soutenir et les orienter vers des voies nouvelles où elle trouveront respect, amour et considération.
Mesdames et Messieurs, malheureusement, plus de cent ans après sa création, la journée de la femme est encore plus importante que jamais et elle doit servir à soulever les interrogations, les prises de conscience afin que les jours à venir soient baignés de changements.
Je voudrais aussi adresser mes félicitations à Patricia Maestracci et à toute son équipe de l’association Entr’aide et loisirs qui ont organisé avec beaucoup de dévouement et de passion cette journée internationale des droits des femmes.
Je vous remercie de votre attention et vous garantis que je suis un maire heureux et fier d’accueillir tout ce beau monde pour la journée de la femme 2013 à Calenzana."
Débat sur « Les violences faites aux femmes »
Le premier débat qui devait suivre les allocutions avait pour thème : Les violences faites aux femmes et était animé par Dominique Nadaud, Déléguée départementale aux droits des femmes et à l’égalité/ DDCSPP Haute-Corse, Jeanine Maraninchi, déléguée du procureur de la Haute-Corse. Plusieurs femmes présentes dans la salle n’ont pas hésité à prendre la parole pour dénoncer toutes formes de violences mais aussi pour poser des Pierre Guidoni invitait ensuite l’assistance à découvrir l’exposition photos : « E Donne di Nanzu è d’avà in Calinzana » (Les femmes d’avant et de maintenant à Calenzana), portraits de femmes d’hier et d’aujourd’hui, certains pris sur les mêmes lieux, d’autres nous présentent les métiers et les femmes.
Puis, une conférence sur « La place des femmes dans la vie publique en Balagne « Animé par Dominique Taddei, président du conseil de développement du Pays de Balagne, captivait l’auditoire.
A 12h30, le verre de l’amitié autour d’un apéritif au féminin… était offert par les vignobles de la Balagne: Cathy Paolini - Le Clos Landry, Camille Raoust- Domaine Maestracci, Marina Acquaviva - Domaine A Ronca et l’association Una Lenza da annacqua (en partenariat avec le syndicat des vignerons Balanins)
Les débats ont repris en début d'après-midi avec pour commencer une discussion sur le thème : "Comment parler de la contraception à nos enfants ? Prévention sur les d’IVG dans notre région ?
Elle était animée par la docteur Domnica Martelli, gynécologue obstétrique.
A suivi une conférence sur « la représentation de la femme au XX et XXI siècles » avec une intervention de Natacha Cavanna, docteur en sciences de l’art
Enfin, autre thème abordé, celui de « La place des femmes dans le sport : "Y-a-t’il des sports défendus aux femmes ?" Une argumentation développée par Hervé Cadot, service loisirs et vie civique de la DDCSPP de Haute-Corse avec Alexandra Mondoloni, professeur de sport et athlète de haut niveau et Dominique Nadaud.
Tout au long de l’après-midi, la fête s’est poursuivie avec une invitation gratuite à l’espace de bien-être et de convivialité.
A l'ouverture du pôle « Beauté, bien être, plaisir » Soins énergétiques, gestion et déprogrammation des émotions ont été mis en exergue par Sabine Becker Thérapeute, maître en Reiki. lympho-énergie, Massages bien-être et détente ont été vantés Caroline Plunet. Cécile Francon naturopathe et olfactothérapeute, Corinne Godbillon conseil en maquillage et Anthony Escobar et son bar à chignon minute ont contribué auy succès du pôle.
Les enfants n’ont pas été oubliés avec un espace garde d’enfants sera organisé à la ludothèque, encadrée par Mireille Calamara.
La soirée de clôture a eu lieu à la Casazza avec à l’affiche un concert gratuit de Baptista Acquaviva, marraine de cette manifestation et le groupe Isulatine .
Samedi au stade de rugby
Prolongement du temps sur les femmes et le sport (Y a-t-il des sports défendus aux femmes ?) le club rugby xv de Lumio reçoit l'associayion ce samedi sur son terrain ou sont organisées toute la journée des rencontres avec des femmes pratiquants des sports dits «réservés aux hommes» : Rugby, football Américain, boxe et autres…
Le club organisera entre 12 et 14 heured un match amical féminin. Des stands accueillant les clubs locaux seront ouverts au public qui pourra ainsi découvrir les différents sports possibles en Balagne.
Il y aura sur place, toute la journée une restauration organisée par le club.
Puis, une conférence sur « La place des femmes dans la vie publique en Balagne « Animé par Dominique Taddei, président du conseil de développement du Pays de Balagne, captivait l’auditoire.
A 12h30, le verre de l’amitié autour d’un apéritif au féminin… était offert par les vignobles de la Balagne: Cathy Paolini - Le Clos Landry, Camille Raoust- Domaine Maestracci, Marina Acquaviva - Domaine A Ronca et l’association Una Lenza da annacqua (en partenariat avec le syndicat des vignerons Balanins)
Les débats ont repris en début d'après-midi avec pour commencer une discussion sur le thème : "Comment parler de la contraception à nos enfants ? Prévention sur les d’IVG dans notre région ?
Elle était animée par la docteur Domnica Martelli, gynécologue obstétrique.
A suivi une conférence sur « la représentation de la femme au XX et XXI siècles » avec une intervention de Natacha Cavanna, docteur en sciences de l’art
Enfin, autre thème abordé, celui de « La place des femmes dans le sport : "Y-a-t’il des sports défendus aux femmes ?" Une argumentation développée par Hervé Cadot, service loisirs et vie civique de la DDCSPP de Haute-Corse avec Alexandra Mondoloni, professeur de sport et athlète de haut niveau et Dominique Nadaud.
Tout au long de l’après-midi, la fête s’est poursuivie avec une invitation gratuite à l’espace de bien-être et de convivialité.
A l'ouverture du pôle « Beauté, bien être, plaisir » Soins énergétiques, gestion et déprogrammation des émotions ont été mis en exergue par Sabine Becker Thérapeute, maître en Reiki. lympho-énergie, Massages bien-être et détente ont été vantés Caroline Plunet. Cécile Francon naturopathe et olfactothérapeute, Corinne Godbillon conseil en maquillage et Anthony Escobar et son bar à chignon minute ont contribué auy succès du pôle.
Les enfants n’ont pas été oubliés avec un espace garde d’enfants sera organisé à la ludothèque, encadrée par Mireille Calamara.
La soirée de clôture a eu lieu à la Casazza avec à l’affiche un concert gratuit de Baptista Acquaviva, marraine de cette manifestation et le groupe Isulatine .
Samedi au stade de rugby
Prolongement du temps sur les femmes et le sport (Y a-t-il des sports défendus aux femmes ?) le club rugby xv de Lumio reçoit l'associayion ce samedi sur son terrain ou sont organisées toute la journée des rencontres avec des femmes pratiquants des sports dits «réservés aux hommes» : Rugby, football Américain, boxe et autres…
Le club organisera entre 12 et 14 heured un match amical féminin. Des stands accueillant les clubs locaux seront ouverts au public qui pourra ainsi découvrir les différents sports possibles en Balagne.
Il y aura sur place, toute la journée une restauration organisée par le club.