Faut-il tenir compte des résultats du premier tour des municipales ?
La pandémie de Coronavirus n'a t-elle pas faussé la consultation ?
Les scènes auxquelles l'on a assisté, peu respectueuses des gestes barrières préconisés dans le cadre de la pandémie, ne vont-elles pas inciter le pouvoir politique à reporter, sine die, un éventuel second tour ?
Ou bien alors à tout recommencer ?
Ce sont toutes ces questions que l'on se pose au lendemain d'un premier tour qui en Corse, comme ailleurs, a quelque peu bouleversé l'ordre des choses.
On l'a vu au Nord et au Sud de Bastia où des citadelles qui paraissaient imprenables sont tombées. A Biguglia notamment où Sauveur Gandolfi-Scheit a perdu le mandat qui était le sien depuis 44 ans. au profit e Jean-Charles Giabiconi. A Brando où Dominique Ricci n'a pas résisté à l'élan de la liste portée par Patrick Sanguinetti.
En revanche Claudy Olmeta (Saint-Florent), José Galletti (Lucciana), Michel Simonpietri (Furiani) - on ne parlera pas de Anne-Marie Natali, seule en lice à Borgo - Michel Rossi à Ville-di-Pietrabugno, Guy Armanet à Santa Maria di Lota ont renouvelé leur bail avec l'hôtel de ville. Marie-Hélène Padovani à San Martino, qui succèdera à son père, élu au conseil communautaire, y retourne avec cette fois la certitude de ceindre l'écharpe de maire.
Pour tous ceux-là - et tous les élus du premier tour - il y a la quasi certitude aujourd'hui de conserver le mandat que leur ont confié leurs électeurs ce dimanche.
Pour les autres, tenus en échec la perspective d'une annulation liée à la situation sanitaire, qui virerait au rouge dès ce lundi soir, pourrait offrir la possibilité d'un repêchage inespéré.
Quand ?
Le Covid-19 décidera.
La pandémie de Coronavirus n'a t-elle pas faussé la consultation ?
Les scènes auxquelles l'on a assisté, peu respectueuses des gestes barrières préconisés dans le cadre de la pandémie, ne vont-elles pas inciter le pouvoir politique à reporter, sine die, un éventuel second tour ?
Ou bien alors à tout recommencer ?
Ce sont toutes ces questions que l'on se pose au lendemain d'un premier tour qui en Corse, comme ailleurs, a quelque peu bouleversé l'ordre des choses.
On l'a vu au Nord et au Sud de Bastia où des citadelles qui paraissaient imprenables sont tombées. A Biguglia notamment où Sauveur Gandolfi-Scheit a perdu le mandat qui était le sien depuis 44 ans. au profit e Jean-Charles Giabiconi. A Brando où Dominique Ricci n'a pas résisté à l'élan de la liste portée par Patrick Sanguinetti.
En revanche Claudy Olmeta (Saint-Florent), José Galletti (Lucciana), Michel Simonpietri (Furiani) - on ne parlera pas de Anne-Marie Natali, seule en lice à Borgo - Michel Rossi à Ville-di-Pietrabugno, Guy Armanet à Santa Maria di Lota ont renouvelé leur bail avec l'hôtel de ville. Marie-Hélène Padovani à San Martino, qui succèdera à son père, élu au conseil communautaire, y retourne avec cette fois la certitude de ceindre l'écharpe de maire.
Pour tous ceux-là - et tous les élus du premier tour - il y a la quasi certitude aujourd'hui de conserver le mandat que leur ont confié leurs électeurs ce dimanche.
Pour les autres, tenus en échec la perspective d'une annulation liée à la situation sanitaire, qui virerait au rouge dès ce lundi soir, pourrait offrir la possibilité d'un repêchage inespéré.
Quand ?
Le Covid-19 décidera.