La réforme du lycée du ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer ne séduit pas tous les enseignants du deuxième degrés que ce lundi 20 janvier, à l'heure où ils auraient du commencer à surveiller les épreuves des nouvelles E3C, ont préféré boycotter la première épreuve de contrôle continu instituée dans le cadre dru nouveau bac. A Ajaccio, au lycée Laetitia, des professeurs ont entravé le déroulement de l'épreuve d'histoire-géographie car, comme on pouvait lire sur un tract distribué ce lundi matin, "Un prétendu contrôle continu nous a été imposé sans lien pertinent avec le travail mené dans nos classes". De nombreux élèves se sont joints au mouvement, en refusant de se présenter à l'examen.
Dans une note le rectorat précise que "En dépit de mobilisations de professeurs et d’élèves devant l’établissement, tous les élèves qui se sont présentés à leur examen ont pu composer.
Un certain nombre d’élèves ont persisté dans leur refus de passer cette épreuve du baccalauréat au mépris de leurs intérêts. Je rappelle que la présence à chaque E3C est obligatoire. Sauf motif médical dûment justifié, aucune excuse ne sera acceptée."
Dans une note le rectorat précise que "En dépit de mobilisations de professeurs et d’élèves devant l’établissement, tous les élèves qui se sont présentés à leur examen ont pu composer.
Un certain nombre d’élèves ont persisté dans leur refus de passer cette épreuve du baccalauréat au mépris de leurs intérêts. Je rappelle que la présence à chaque E3C est obligatoire. Sauf motif médical dûment justifié, aucune excuse ne sera acceptée."