"Evviva", le Sporting est sauvé. Il sera encore du Championnat de France de Ligue 2 la saison prochaine.
C'est le seul point positif d'une année de compétition qui va s'achever de bien triste façon après l'avant-dernière prestation du Sporting à domicile quelques heures avant la commémoration d'un 32e anniversaire d'une catastrophe gravée à jamais dans la mémoire du football.
Le Sporting a perdu, c'est la loi du sport contre laquelle nul ne peut s'élever.
Mais plus que ce revers qui a été souvent le lot du club bastiais à domicile, c'est la façon dont il est survenu qui ne manque pas d'interpeller.
Ce vendredi, Furiani s'est paré du noir du deuil qui aura encore cours ce dimanche devant la stèle qui perpétue le souvenir de ceux qui sont tombés par amour du bleu éternel du club.
Le stade Armand-Cesari et les joueurs présentés face à Amiens se sont souvenus au cours d'un moment de forte et intense émotion de ce triste 5 mai 1992.
Mais au-delà de ce moment de communion unanime nous avons eu beau écarquiller nos yeux nous n'avons pas vu beaucoup des joueurs bastiais, porteur du triste, maillot noir du deuil se hisser à la hauteur de l'événement, tragique, qu'il rappelait.
Face à une équipe d'Amiens qui n'en demandait pas tant, on a vu des joueurs amorphes et bien peu concernés par cette partie prélude, le surlendemain, à la commémoration du drame qui a coûté tant de vies et marqué dans leur chair des milliers de personnes.
Il y a eu bien sûr cette réaction qui a permis au Sporting de réduire la marque, mais le mal dans l'esprit de tous était fait. Si le stade de Furiani s'est bien associé à la douleur de tous ceux qui n'oublieront jamais le 5 mai, sur le terrain le noir du maillot et du deuil, qui aurait dû sublimer ceux qui le portaient, a été supplanté par un comportement affligeant qui, hormis cette réaction l'heure de jeu passée, aurait mérité un carton rouge, celui de la… honte.
C'est le seul point positif d'une année de compétition qui va s'achever de bien triste façon après l'avant-dernière prestation du Sporting à domicile quelques heures avant la commémoration d'un 32e anniversaire d'une catastrophe gravée à jamais dans la mémoire du football.
Le Sporting a perdu, c'est la loi du sport contre laquelle nul ne peut s'élever.
Mais plus que ce revers qui a été souvent le lot du club bastiais à domicile, c'est la façon dont il est survenu qui ne manque pas d'interpeller.
Ce vendredi, Furiani s'est paré du noir du deuil qui aura encore cours ce dimanche devant la stèle qui perpétue le souvenir de ceux qui sont tombés par amour du bleu éternel du club.
Le stade Armand-Cesari et les joueurs présentés face à Amiens se sont souvenus au cours d'un moment de forte et intense émotion de ce triste 5 mai 1992.
Mais au-delà de ce moment de communion unanime nous avons eu beau écarquiller nos yeux nous n'avons pas vu beaucoup des joueurs bastiais, porteur du triste, maillot noir du deuil se hisser à la hauteur de l'événement, tragique, qu'il rappelait.
Face à une équipe d'Amiens qui n'en demandait pas tant, on a vu des joueurs amorphes et bien peu concernés par cette partie prélude, le surlendemain, à la commémoration du drame qui a coûté tant de vies et marqué dans leur chair des milliers de personnes.
Il y a eu bien sûr cette réaction qui a permis au Sporting de réduire la marque, mais le mal dans l'esprit de tous était fait. Si le stade de Furiani s'est bien associé à la douleur de tous ceux qui n'oublieront jamais le 5 mai, sur le terrain le noir du maillot et du deuil, qui aurait dû sublimer ceux qui le portaient, a été supplanté par un comportement affligeant qui, hormis cette réaction l'heure de jeu passée, aurait mérité un carton rouge, celui de la… honte.