Les vacances de Pâques - pardon de Printemps - ont donné le signal de départ.
Sò ghjunti. Ils sont là les premiers touristes de l'année.
Il aura suffi de quelques belles journées et de beaux rayons de soleil pour les voir se réapproprier nos plages les plus emblématiques, nos centres-ville, nos rues.
En short, sac au dos, guide en main et appareil photo en bandoulière, ils ont marché, bronzé, fait trempette.
Il ne s'agit bien sûr que d'une minivague, mais leur présence à cette période de l'année augure sans doute de beaux jours pour tous ceux qui attendent que la grande roue du commerce se remette à tourner plus vite...
Mais si tous ceux-là, qui sont plus nombreux que ce l'on pense, se frottent, déjà, les mains, il en est d'autres qui se posent, à juste titre, la question de savoir comment notre région, aux infrastructures sous-dimensionnées, va bien pouvoir absorber toujours beaucoup plus de visiteurs que ce que, raisonnablement, elle peut en accueillir ?
Attention, nous sommes bien d'accord pour reconnaître que le tourisme est notre première et principale industrie, mais point trop n'en faut.
Bien sûr, hôtels, restaurants, paillotes, maisons d'hôtes, grandes surfaces, super marchés, artisans, boulangers, etc., doivent tirer bénéfice de la présence de nos visiteurs et dans le sillage de cette fréquentation, nos infrastructures doivent, elles aussi, enfin s'améliorer. Mais en sachant raison garder. En évitant la saturation. Ou le seuil à ne pas dépasser.
Oui, la roue des affaires doit tourner, mais pas n'importe comment et surtout pas à n'importe quel prix .
Qui est prêt à jouer le jeu du raisonnable et du raisonné ?
Elli, sò ghjunti… ava toccà a noï a sapè fà !
Sò ghjunti. Ils sont là les premiers touristes de l'année.
Il aura suffi de quelques belles journées et de beaux rayons de soleil pour les voir se réapproprier nos plages les plus emblématiques, nos centres-ville, nos rues.
En short, sac au dos, guide en main et appareil photo en bandoulière, ils ont marché, bronzé, fait trempette.
Il ne s'agit bien sûr que d'une minivague, mais leur présence à cette période de l'année augure sans doute de beaux jours pour tous ceux qui attendent que la grande roue du commerce se remette à tourner plus vite...
Mais si tous ceux-là, qui sont plus nombreux que ce l'on pense, se frottent, déjà, les mains, il en est d'autres qui se posent, à juste titre, la question de savoir comment notre région, aux infrastructures sous-dimensionnées, va bien pouvoir absorber toujours beaucoup plus de visiteurs que ce que, raisonnablement, elle peut en accueillir ?
Attention, nous sommes bien d'accord pour reconnaître que le tourisme est notre première et principale industrie, mais point trop n'en faut.
Bien sûr, hôtels, restaurants, paillotes, maisons d'hôtes, grandes surfaces, super marchés, artisans, boulangers, etc., doivent tirer bénéfice de la présence de nos visiteurs et dans le sillage de cette fréquentation, nos infrastructures doivent, elles aussi, enfin s'améliorer. Mais en sachant raison garder. En évitant la saturation. Ou le seuil à ne pas dépasser.
Oui, la roue des affaires doit tourner, mais pas n'importe comment et surtout pas à n'importe quel prix .
Qui est prêt à jouer le jeu du raisonnable et du raisonné ?
Elli, sò ghjunti… ava toccà a noï a sapè fà !