Le sans-gêne est devenu une institution chez nous.
On en va pas vous reparler de ces stationnements en double file permanents sur nos principales artères. Ni de ses automobilistes qui vous bloquent de longs instants et qui vous demandent presque de vous excuser lorsque vous allez leur demander de vous laisser quitter votre place de stationnement.
Non, cela est monnaie courante.
Il est un autre phénomène qui bien des fois perdure des heures durant sur les axes routiers les plus fréquentés et de surcroît à l'heure où le trafic automobile est le plus important.
Là on agit autrement.
On stationne, pour des raisons de livraison ou de déménagement ou pour tout autre motif, qu'il suffit parfois d'improviser, sur l'une des deux voies de circulation sans se soucier des conséquences qu'une telle désinvolture peut générer.
Qu'importe en effet, que la circulation automobile s'écoule au ralenti entre Erbalonga et Toga. Qu'importe que le trajet Miomu-Bastia s'effectue en 2 heures de temps. Qu'importe la gêne que l'on occasionne à tous ceux qui ont des rendez-vous médicaux. Aux lycéens. Aux gens qui bossent.
Qu'importe.
L'essentiel est de faire ce que l'on veut, où l'on veut et comme l'on veut…
Sans songer à une solution qui permettrait d'atténuer les effets d'une telle désinvolture
Et sans que cela n'interpelle aucun des services en charge du bon ordre sur la voie publique.
On en va pas vous reparler de ces stationnements en double file permanents sur nos principales artères. Ni de ses automobilistes qui vous bloquent de longs instants et qui vous demandent presque de vous excuser lorsque vous allez leur demander de vous laisser quitter votre place de stationnement.
Non, cela est monnaie courante.
Il est un autre phénomène qui bien des fois perdure des heures durant sur les axes routiers les plus fréquentés et de surcroît à l'heure où le trafic automobile est le plus important.
Là on agit autrement.
On stationne, pour des raisons de livraison ou de déménagement ou pour tout autre motif, qu'il suffit parfois d'improviser, sur l'une des deux voies de circulation sans se soucier des conséquences qu'une telle désinvolture peut générer.
Qu'importe en effet, que la circulation automobile s'écoule au ralenti entre Erbalonga et Toga. Qu'importe que le trajet Miomu-Bastia s'effectue en 2 heures de temps. Qu'importe la gêne que l'on occasionne à tous ceux qui ont des rendez-vous médicaux. Aux lycéens. Aux gens qui bossent.
Qu'importe.
L'essentiel est de faire ce que l'on veut, où l'on veut et comme l'on veut…
Sans songer à une solution qui permettrait d'atténuer les effets d'une telle désinvolture
Et sans que cela n'interpelle aucun des services en charge du bon ordre sur la voie publique.