Ce centre social sera ouvert au plus grand nombre et aura pour mission première de rapprocher le service public local des habitants. Il y en aura pour tous les goûts, activités sportives, socioculturelles et loisirs, les ingrédients indispensables à alimenter la cohésion sociale. C’est ce qu’a d’ailleurs souligné Xavier Lacombe dans son allocution de bienvenue aux maires et invités de la région :
«Les zones périurbaines sont à la croisée des chemins. Elles peinent à trouver leur place comme trait d’union entre le monde rural et le monde urbain. Cette difficulté de positionnement se traduit par l’apparition de nouveaux phénomènes liés à la périurbanisation telle que l’absence ou la difficulté à tisser des liens sociaux entre les nouveaux résidents ou le manque d’infrastructures. De plus, les habitants de ces zones sont des publics fragiles. Dans les zones périurbaines où les loyers sont moins élevés qu’en hyper centre, l’on trouve typiquement des personnes isolées, des familles monoparentales, des jeunes sans logement et sans emploi. Cette zone est soumise depuis plusieurs années à une forme accrue de précarisation… »
La forte poussée de la population…
Autour de l’agglomération ajaccienne, on se rend compte que les communes du rural en pays ajaccien ont connu en vingt ans une forte augmentation de leur population, de l’ordre de 50% entre 1090 et 2010. Il va sans dire que cette évolution démographique engendre une sorte de rupture sociologique entre les noyaux villageois d’origine et les nouveaux hameaux où l’habitat individuel et les modes périurbains induisent toutes sortes de comportements. Aussi, la construction d’un centre à vocation multiple prend toute sa dimension.
Un bâtiment de 700 m²
Raison pour laquelle le Conseil Communautaire a autorisé l’acquisition foncière du terrain de l’opération (5248 m²) de la commune de Peri pour la somme de 157 440 euros. La CAPA, en qualité de maître d’ouvrage, a eu la charge de la construction du bâtiment à l’automne 2018.
Le centre social et culturel de Peri constitue un ouvrage de 700 m². Conçu par l’architecte DPLG Jérôme Pariente, il sera équipé :
- D’une salle d’activités physiques de 65 m² jumelée à l’aide de cloison amovible à une salle de travaux de 35 m²
- D’un espace multimédia de 42 m² dédié aux activités informatiques, cours et atelier créatif
- D’une salle de réunion de 33 m² à proximité directe du hall d’accueil
- D’une salle polyvalente de 260 m² implantée en rez-de- jardin, disposant d’un espace de rangement, d’une zone comptoir et d’un bac sanitaire lui permettant de fonctionner en indépendance totale du reste de la structure
Le centre en chiffres
Durée des travaux : 17 mois
Livraison : automne 2018
Coût de l’opération : 2 402 765 euros TTC
Superficie : 679 m²
Soutien financier des partenaires : Conseil départemental de la Corse-du-Sud, CTC, Caisse d’assurance retraite de la santé au travail du Sud Est
«Les zones périurbaines sont à la croisée des chemins. Elles peinent à trouver leur place comme trait d’union entre le monde rural et le monde urbain. Cette difficulté de positionnement se traduit par l’apparition de nouveaux phénomènes liés à la périurbanisation telle que l’absence ou la difficulté à tisser des liens sociaux entre les nouveaux résidents ou le manque d’infrastructures. De plus, les habitants de ces zones sont des publics fragiles. Dans les zones périurbaines où les loyers sont moins élevés qu’en hyper centre, l’on trouve typiquement des personnes isolées, des familles monoparentales, des jeunes sans logement et sans emploi. Cette zone est soumise depuis plusieurs années à une forme accrue de précarisation… »
La forte poussée de la population…
Autour de l’agglomération ajaccienne, on se rend compte que les communes du rural en pays ajaccien ont connu en vingt ans une forte augmentation de leur population, de l’ordre de 50% entre 1090 et 2010. Il va sans dire que cette évolution démographique engendre une sorte de rupture sociologique entre les noyaux villageois d’origine et les nouveaux hameaux où l’habitat individuel et les modes périurbains induisent toutes sortes de comportements. Aussi, la construction d’un centre à vocation multiple prend toute sa dimension.
Un bâtiment de 700 m²
Raison pour laquelle le Conseil Communautaire a autorisé l’acquisition foncière du terrain de l’opération (5248 m²) de la commune de Peri pour la somme de 157 440 euros. La CAPA, en qualité de maître d’ouvrage, a eu la charge de la construction du bâtiment à l’automne 2018.
Le centre social et culturel de Peri constitue un ouvrage de 700 m². Conçu par l’architecte DPLG Jérôme Pariente, il sera équipé :
- D’une salle d’activités physiques de 65 m² jumelée à l’aide de cloison amovible à une salle de travaux de 35 m²
- D’un espace multimédia de 42 m² dédié aux activités informatiques, cours et atelier créatif
- D’une salle de réunion de 33 m² à proximité directe du hall d’accueil
- D’une salle polyvalente de 260 m² implantée en rez-de- jardin, disposant d’un espace de rangement, d’une zone comptoir et d’un bac sanitaire lui permettant de fonctionner en indépendance totale du reste de la structure
Le centre en chiffres
Durée des travaux : 17 mois
Livraison : automne 2018
Coût de l’opération : 2 402 765 euros TTC
Superficie : 679 m²
Soutien financier des partenaires : Conseil départemental de la Corse-du-Sud, CTC, Caisse d’assurance retraite de la santé au travail du Sud Est
Envoyer à un ami
Version imprimable
