De droite à gauche: l'administrateur en chef des affaires maritimes A. Ferri (directeur du Cross Méditerranée), le vice-amiral d'escadre du Ché (Préfet maritime de la Méditerranée) et l'administrateur général des affaires maritimes Andrieu (DIRM Méditerranée) crédit : Benoit.Emile©Marine nationale
Chaque année en Méditerranée, près de 30 personnes trouvent la mort et 1300 sont sauvées au cours d’opérations en mer coordonnées par le Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage de la Méditerranée (CROSSMedi). Sous l’autorité du Premarmed, il coordonne plus de 3.000 opérations sur les 2.000 km du littoral de la Méditerranée entre les frontières italiennes et espagnoles et le pourtour de la Corse.
Le vice-amiral d’escadre du Ché, Préfet maritime de la Méditerranée, et l'Administrateur en chef des affaires maritimes, directeur du CROSS Med, ont rappelé les principes, qui diffusés au plus grand nombre, doivent permettre de sauver des vies.
Coup de vent, coup de fatigue, coup de la panne, alors que les estivants vont arriver sur les côtes de méditerranée, il est primordial de rappeler qu’en mer aussi les coups peuvent tuer et diffuser les messages importants de prévention nautique.
Pour cela, la règle à respecter peut être résumée en « #PEA », l’assurance en mer :
- Préparation : avoir une connaissance de l’activité, de son milieu, des conditions météo, de soi-même.
- Equipement : vérifier le matériel de sécurité (gilet de sauvetage,...) et un moyen de communication.
- Alerte : composer le 196, numéro unique et gratuit, avoir un moyen de signalisation lumineux pour être aperçu.
Le vice-amiral d’escadre du Ché, Préfet maritime de la Méditerranée, et l'Administrateur en chef des affaires maritimes, directeur du CROSS Med, ont rappelé les principes, qui diffusés au plus grand nombre, doivent permettre de sauver des vies.
Coup de vent, coup de fatigue, coup de la panne, alors que les estivants vont arriver sur les côtes de méditerranée, il est primordial de rappeler qu’en mer aussi les coups peuvent tuer et diffuser les messages importants de prévention nautique.
Pour cela, la règle à respecter peut être résumée en « #PEA », l’assurance en mer :
- Préparation : avoir une connaissance de l’activité, de son milieu, des conditions météo, de soi-même.
- Equipement : vérifier le matériel de sécurité (gilet de sauvetage,...) et un moyen de communication.
- Alerte : composer le 196, numéro unique et gratuit, avoir un moyen de signalisation lumineux pour être aperçu.
Florian témoigne du début de noyade qui a failli lui coûter la vie
Au cours d’un témoignage poignant, Florian, sauvé en mai 2014 de la noyade lors d’une opération de secours en mer en rade d’Hyères, a permis de relier à la réalité ces principes de précaution. Bien que professionnel aguerri de la mer, il est tombé à l’eau de son embarcation et a attendu plus de deux heures entre son appel de détresse et l’arrivée des secours. Il doit la vie sauve au port du gilet de sauvetage lui a permis d’être encore en vie à l’arrivée des secours et d’être davantage visible en mer. Il a également rendu hommage et au professionnalisme des opérateurs du Cross Med qui ont coordonné l’opération et à celui des marins de la flottille d’hélicoptère 35F et de la station SNSM de Hyères qui sont intervenus.
Son seul regret ? Ne pas avoir sur lui la VHF qu’il avait à bord. Il en a tiré les conséquences de son aventure et partage aujourd’hui son expérience pour faire passer ces messages de prévention auprès du grand public.
Au cours d’un témoignage poignant, Florian, sauvé en mai 2014 de la noyade lors d’une opération de secours en mer en rade d’Hyères, a permis de relier à la réalité ces principes de précaution. Bien que professionnel aguerri de la mer, il est tombé à l’eau de son embarcation et a attendu plus de deux heures entre son appel de détresse et l’arrivée des secours. Il doit la vie sauve au port du gilet de sauvetage lui a permis d’être encore en vie à l’arrivée des secours et d’être davantage visible en mer. Il a également rendu hommage et au professionnalisme des opérateurs du Cross Med qui ont coordonné l’opération et à celui des marins de la flottille d’hélicoptère 35F et de la station SNSM de Hyères qui sont intervenus.
Son seul regret ? Ne pas avoir sur lui la VHF qu’il avait à bord. Il en a tiré les conséquences de son aventure et partage aujourd’hui son expérience pour faire passer ces messages de prévention auprès du grand public.