Le sous-préfet Sébastien Cecchi accompagné de Jean-Noël Luciani, responsable du FAFSEA qui a financé la formation et Olivier Pailly, directeur de l'unité de recherche du centre de l'INRA
Une formation, fruit d’une initiative collective
Il y a maintenant deux mois que la première formation professionnalisante au métier de tractoriste en agrumiculture était inaugurée. A un mois de sa conclusion, le sous-préfet de Corte a tenu à venir rencontrer les stagiaires afin de constater les progrès réalisés et les féliciter de leur investissement.
Sur le site de l’INRA où les stagiaires s’exerçaient à la taille des agrumes, le sous-préfet était accompagné des représentants du Pôle Emploi, de la Chambre d’agriculture de Haute-Corse et de la DIRECCTE qui sont tous intervenus dans la mise en place de cette formation
« Nous sommes présents afin de mettre en avant cette belle expérimentation que nous allons essayer de déployer dans d’autres domaines et d’autres filières » explique Sébastien Cecchi. Afin de répondre à un besoin concret des exploitants, cette formation ad hoc a été conçue « sur-mesure » et apporte aux stagiaires une dimension pluridisciplinaire à leur qualification, plus-value lors de leur future embauche « Nous avons l’objectif que cette formation soit « utile, utilisable, utilisée. A travers cette initiative nous montrons aussi que le travail en partenariat fonctionne » se félicite le sous-préfet.
Sur le site de l’INRA où les stagiaires s’exerçaient à la taille des agrumes, le sous-préfet était accompagné des représentants du Pôle Emploi, de la Chambre d’agriculture de Haute-Corse et de la DIRECCTE qui sont tous intervenus dans la mise en place de cette formation
« Nous sommes présents afin de mettre en avant cette belle expérimentation que nous allons essayer de déployer dans d’autres domaines et d’autres filières » explique Sébastien Cecchi. Afin de répondre à un besoin concret des exploitants, cette formation ad hoc a été conçue « sur-mesure » et apporte aux stagiaires une dimension pluridisciplinaire à leur qualification, plus-value lors de leur future embauche « Nous avons l’objectif que cette formation soit « utile, utilisable, utilisée. A travers cette initiative nous montrons aussi que le travail en partenariat fonctionne » se félicite le sous-préfet.
Evaluer cette formation pour l’appliquer à d’autres publics
Une enquête obligatoire sera réalisée six mois après la fin de la formation afin d’estimer les personnes ayant retrouvé un emploi.
Cette expérimentation sera alors « évaluable » afin de l’appliquer ou non à d’autre publics mais également en vue d’exporter le modèle.
« Nous avons un public large de demandeurs d’emploi, les stagiaires allant de 18 à 53 ans. L’objectif est qu’ils retrouvent tous un emploi et qu’ils puissent tous répondre aux besoins qui ont été formulés » explique Hélène Beretti, directrice de la Chambre d’agriculture de Haute-Corse. Une formation en viticulture est déjà en projet, une nouvelle fois en collaboration avec le service public de l’emploi, que nous ne manquerons pas de développer dans de futures pages.
Corse Net Infos sera présent lors de la clôture fin mai de cette première formation afin de recueillir les impressions finales des stagiaires en présence de tous les intervenants.
Cette expérimentation sera alors « évaluable » afin de l’appliquer ou non à d’autre publics mais également en vue d’exporter le modèle.
« Nous avons un public large de demandeurs d’emploi, les stagiaires allant de 18 à 53 ans. L’objectif est qu’ils retrouvent tous un emploi et qu’ils puissent tous répondre aux besoins qui ont été formulés » explique Hélène Beretti, directrice de la Chambre d’agriculture de Haute-Corse. Une formation en viticulture est déjà en projet, une nouvelle fois en collaboration avec le service public de l’emploi, que nous ne manquerons pas de développer dans de futures pages.
Corse Net Infos sera présent lors de la clôture fin mai de cette première formation afin de recueillir les impressions finales des stagiaires en présence de tous les intervenants.