C'est le coeur serré que titulaires d'établissements de plage de Calvi ont assisté ce matin à la démolition de leur outil de travail.
Un outil de travail qui représente pour eux des années et des années de labeur.
" C'est terrible de voir ainsi disparaître en quelques coups de pelleteuse un endroit qui représente pour certains toute un vie" lance désabusé un plagiste au moment où la pelle mécanique fait tomber les premiers pans de mur de l'établissement "O'Serge".
Une démolition qui est suivie de près par plusieurs plagistes mais aussi calvais qui vient là s'envoler bon nombre de souvenirs.
Sur place, Jean-Louis Delpoux, premier adjoint au maire de Calvi qui s'est déjà largement exprimé dans nos colonnes sur le sujet avoue lui aussi que ce n'est pas de gaieté de coeur qu'il voit ces établissements disparaître.
Ces démolitions rentrent dans le processus et la régularisation du Décret plage de 2006 soumis à diverses dispositions dont nous avons eu l'occasion de décortiquer.
En février 2017, les plagistes de Calvi ont au terme de plusieurs réunions signé un protocole d'accord avec l'État pour démolir leurs établissements d'ici au 31 décembre 2018. Un délai supplémentaire a ensuite été accordé. Ces structures de plage devront toutes être rasée d'ici le 20 décembre de cette année.
Ce n'est qu'une fois la plage débarrassée de tous ses établissement qu'un nouvelle concession pourrait être accordée à la Municipalité de Calvi pour 2021.
Un délai qui inquiète plagistes mais aussi Municipalité pour la saison 2020 qui pourrait voir la plage de Calvi avec uniquement des matelas et des parasols !!!
Le fait que la Ville de Calvi n'ait toujours pas de PLU risque là aussi de compliquer la situation.
Dans l'immédiat, on l'a dit, le plus important est de démolir et ce avec tous les risques que cela comporte.
Le 10 décembre 2018, c'est le "Makayoba" qui s'est plié à cette exigence. Aujourd'hui, c'est au tour de "O'Serge Beach" d'être livré à la pelleteuse. Sous 48 heures ce sera l'établissement "In Casa", fief du très célèbre et incontournable "Calvi on the rock" qui sera démoli, suivi du "Ricantu" et des autres.
Un outil de travail qui représente pour eux des années et des années de labeur.
" C'est terrible de voir ainsi disparaître en quelques coups de pelleteuse un endroit qui représente pour certains toute un vie" lance désabusé un plagiste au moment où la pelle mécanique fait tomber les premiers pans de mur de l'établissement "O'Serge".
Une démolition qui est suivie de près par plusieurs plagistes mais aussi calvais qui vient là s'envoler bon nombre de souvenirs.
Sur place, Jean-Louis Delpoux, premier adjoint au maire de Calvi qui s'est déjà largement exprimé dans nos colonnes sur le sujet avoue lui aussi que ce n'est pas de gaieté de coeur qu'il voit ces établissements disparaître.
Ces démolitions rentrent dans le processus et la régularisation du Décret plage de 2006 soumis à diverses dispositions dont nous avons eu l'occasion de décortiquer.
En février 2017, les plagistes de Calvi ont au terme de plusieurs réunions signé un protocole d'accord avec l'État pour démolir leurs établissements d'ici au 31 décembre 2018. Un délai supplémentaire a ensuite été accordé. Ces structures de plage devront toutes être rasée d'ici le 20 décembre de cette année.
Ce n'est qu'une fois la plage débarrassée de tous ses établissement qu'un nouvelle concession pourrait être accordée à la Municipalité de Calvi pour 2021.
Un délai qui inquiète plagistes mais aussi Municipalité pour la saison 2020 qui pourrait voir la plage de Calvi avec uniquement des matelas et des parasols !!!
Le fait que la Ville de Calvi n'ait toujours pas de PLU risque là aussi de compliquer la situation.
Dans l'immédiat, on l'a dit, le plus important est de démolir et ce avec tous les risques que cela comporte.
Le 10 décembre 2018, c'est le "Makayoba" qui s'est plié à cette exigence. Aujourd'hui, c'est au tour de "O'Serge Beach" d'être livré à la pelleteuse. Sous 48 heures ce sera l'établissement "In Casa", fief du très célèbre et incontournable "Calvi on the rock" qui sera démoli, suivi du "Ricantu" et des autres.