On n'a pas entendu les canti et Lodi di u Venneri Santu in Pieve di Lota.
Les processions traditionnelles de la Pulezzula, ces objets en palmes tressés, n'ont pas davantage déambulé sur les routes et les sentiers, parfois, escarpés, de la Pieve. Les portes des églises de Figarella, Mandriale et San Martinu di Lota son restées closes. Et il n'y avait pas âme qui vive sur les places des villages complètement confinés...
Le covid-19 a eu raison de la profonde piété qui se manifeste ici depuis la nuit des temps.
Mais ce n'est pas pour autant que de Los Angeles, à la région champenoise en passant par le Limousin, la Provence, la Corse, Paris, Bastia et sur le périmètre des trois confréries, où tout le monde était confiné, l'on n'a pas intensément vécu la Passion du Christ
Les réseaux sociaux s'y sont mis. Zoom, Facebook etc..., ont permis au "Perdono mio dio" et au "Santa Madre" d'être successivement entonnés entre Figarella, Vichy, Paris et Los Angeles notamment.
Mais point de procession sinon, comme dans un rêve surgit dans la nuit du Ghjovi santu, cette Croix qui s'est frayée un chemin entre une haie sans fin de bougies illuminées...
Et Venneri Santu ?
Tout le monde est resté à la maison.
Sur le chemin de Croix de la Pieve di Lota, après avoir croisé un confrère de San Martinu, lui aussi solitaire sur le chemin de Croix, c'est le grand silence.
Seul le bruit de la nature. Celui des oiseaux qui chantent. De l'eau qui ruisselle. Et des pas d'une seule personne qui a voulu vivre, pour ses lecteurs, cette expérience qu'elle n'aurait jamais voulu connaître.
En un peu plus de deux heures de temps l'essentiel a été accompli.
La triple halte devant les trois églises n'est pas allée au-delà d'une prière. Mais le Christ, que des centaines d'autres personnes auraient aimé accompagner tout au long de son chemin de Croix, n'était pas seul...
Les processions traditionnelles de la Pulezzula, ces objets en palmes tressés, n'ont pas davantage déambulé sur les routes et les sentiers, parfois, escarpés, de la Pieve. Les portes des églises de Figarella, Mandriale et San Martinu di Lota son restées closes. Et il n'y avait pas âme qui vive sur les places des villages complètement confinés...
Le covid-19 a eu raison de la profonde piété qui se manifeste ici depuis la nuit des temps.
Mais ce n'est pas pour autant que de Los Angeles, à la région champenoise en passant par le Limousin, la Provence, la Corse, Paris, Bastia et sur le périmètre des trois confréries, où tout le monde était confiné, l'on n'a pas intensément vécu la Passion du Christ
Les réseaux sociaux s'y sont mis. Zoom, Facebook etc..., ont permis au "Perdono mio dio" et au "Santa Madre" d'être successivement entonnés entre Figarella, Vichy, Paris et Los Angeles notamment.
Mais point de procession sinon, comme dans un rêve surgit dans la nuit du Ghjovi santu, cette Croix qui s'est frayée un chemin entre une haie sans fin de bougies illuminées...
Et Venneri Santu ?
Tout le monde est resté à la maison.
Sur le chemin de Croix de la Pieve di Lota, après avoir croisé un confrère de San Martinu, lui aussi solitaire sur le chemin de Croix, c'est le grand silence.
Seul le bruit de la nature. Celui des oiseaux qui chantent. De l'eau qui ruisselle. Et des pas d'une seule personne qui a voulu vivre, pour ses lecteurs, cette expérience qu'elle n'aurait jamais voulu connaître.
En un peu plus de deux heures de temps l'essentiel a été accompli.
La triple halte devant les trois églises n'est pas allée au-delà d'une prière. Mais le Christ, que des centaines d'autres personnes auraient aimé accompagner tout au long de son chemin de Croix, n'était pas seul...