Mon Paradoxe à été créé le 15 avril 2017 à Ajaccio pour permettre aux personnes qui sont ou ont été touchées par le cancer, de s’exprimer à travers différentes activités artistiques :
« Cette après-midi découverte s’adresse à tout public susceptible de diffuser l’information. Nous savons que cette maladie isole, par conséquent, nous voulons créer un climat de confiance et d’écoute. »
Une après-midi de découverte sur les différentes actions mises en place par les deux associations :
« L’accueil est prévu à l’association PIETRALBA avec ses ateliers enfants. Il y aura également une projection des différentes activités effectuées par l’association Mon Paradoxe, avec une exposition photos de femmes touchées par le cancer, réalisées par la photographe Stéphanie Catherine. Plusieurs intervenants expliqueront leur différente démarche, au micro de la radio Frequenza Nostra, média de proximité. Un goûter sera offert pour clôturer cette après-midi dans une ambiance de partage et de convivialité. »
Retour sur les projets communs :
« Les ateliers mis en place seront adaptés à la demande des personnes concernées, pour laisser le choix à chacun, d’être dans un contexte fermé ou pas. L’association PIETRALBA, propose également à ces participants, d’encadrer certaines de leurs sorties, leur permettant ainsi d’être dans une autre dynamique. Chaque mois, un après midi rencontre autour d’un café sera proposé au public désireux de nous connaitre un peu plus. »
Ateliers, permanences et émissions radio sur Frequenza Nostra
« Dans un premier temps nous répondrons à la demande concernant nos différents ateliers (Théâtre, expression corporelle, chant, écriture et art plastique), une permanence existe pour accueillir et renseigner les personnes intéressées toujours dans un esprit d’adaptation. Avec notre partenaire, la radio Fréquenza Nostra 99 FM, une émission sera dédiée, chaque semaine à Mon Paradoxe, abordant différents thèmes autour du cancer, dans un esprit d’écoute et de bienveillance. Des professionnels de santé interviendront, pour répondre au mieux aux questions les concernant. Nous espérons à long terme, installer un climat de confiance et permettre au public concerné d’intervenir lors de nos émissions instaurant ainsi un dialogue sur un sujet encore tabou. »
La Mairie Annexe de Sarrola partenaire de « Mon Paradoxe » depuis 2018
« Face au succès rencontré lors de l’inauguration en 2018, à la Mairie Annexe de Sarrola nous souhaitons de nouveau, informer le public de nos nouvelles actions accessibles et rappeler l’existence de l’atelier chant-Bien être animé par Marie-Jo Bonardi ».
L’association Mon Paradoxe poursuit son objectif, toucher toutes les personnes en attente d’écoute, de soutien et de partage…
Un week-end de création collaborative, ouvert à tous, dans le but de créer des dispositifs qui redonnent de la valeur et de l’attractivité aux espaces publics et remettent la langue corse dans la rue, sous une forme créative et stimulante.
Un week-end pour réaliser des prototypes
Les participants auront 48h pour réaliser en équipe des projets et prototypes dans deux catégories : Street art textuel ou Mobilier urbain. Concrètement, on pourra faire naître des fresques mêlant textes et images au mur, au sol ou sur des bancs ... de même qu’on pourra aussi f des propositions de nouveaux bancs, jardinières, abris-bus, poubelles, boîtes à livres, cendriers...
Des projets qui tiennent compte du « génie du lieu »
Les participants devront travailler sur des lieux réels et proposer des dispositifs , pensés pour ces lieux précis, à rebours de standard hors-sol que l’on retrouve à l’identique aux quatre coins du monde...
Plusieurs institutions et collectivités mettront à disposition un catalogue de lieux d’intervention : la ville de Bastia, la ville de Corte, la ville de Bonifacio, le CROUS de Corse et bien sûr l’Université de Corse.
Concrètement?
L’événement se déroulera les 23 et 24 novembre au Palazzu Naziunale à Corte.
Les inscriptions sont ouvertes à tous - étudiants et personnels de l’Université mais aussi personnalités extérieures - du 11 octobre au 9 novembre.
Pendant l’événement, les participants seront accompagnés par des coaches pour donner le meilleur d’eux-mêmes dans le domaine de l’écriture en langue corse, du graphisme, du design et du prototypage...les meilleurs projets seront récompensés par un jury professionnel qui permettra notamment aux projets retenus d’être réalisés.
Ce stage s’adresse aux comédiens amateurs comme aux confirmés (à partir de 16 ans).
Il a pour objectif de permettre à chaque stagiaire d’éprouver et de comprendre les spécificités propres au jeu de l’acteur face à la caméra, pour le cinéma ou la télévision.
Par le travail notamment de scènes à jouer dans des contextes variés de filmage, ce stage cherche surtout à fournir les outils permettant de se libérer l’esprit et de surmonter son appréhension pour être en capacité de jouer au moment d’un véritable tournage.
Que se soit en vue de se préparer à un futur casting ou à un prochain tournage professionnel, ce stage permet donc d’expérimenter, pour prendre confiance et se découvrir en tant qu’acteur/trice.
- Approche de l’outil caméra et de la grammaire cinématographique
- Préparation à l’exercice du casting (présentation, aborder un rôle, interpréter un texte)
- Aborder la construction d’un personnage avec les contraintes de la technique de la caméra
- Répondre aux consignes de jeu dans toutes circonstances
- Acquérir la justesse et le naturel propre au jeu devant la caméra
- Travailler et maîtriser les émotions (colère, peur, joie, tristesse, etc.)
- Tournage de scènes avec un partenaire
- Visionnage et commentaire des scènes filmées
Intervenants : Didier Ferrari (comédien), Jean-François Perrone (comédien) et Michè D’Onofrio (scénariste et réalisateur).
Un visionnage du stage le
Lieu : Spaziu Culturali Locu Teatrale
8 rue Hyacinthe Campiglia, 20000 Ajaccio
Dates et horaires : Vendredi 18 octobre (de 18h à 22h) et samedi 19 octobre (de 18h à 20h) et dimanche 20 octobre (de 11h à 13h et de 14h à 18h).
Tarif du stage (3 jours) : 150 € (adhérents 140 €)
Nombre de places limitées. Inscriptions au 04.95.10.72.03
Les dirigeants de la multinationale UBER veulent installer en Corse une plateforme numérique de travail pour effectuer des livraisons.
La modernité, la facilité d’usage évoquées sont des prétextes au contournement du droit du travail. Ces plateformes proposent des prestations de services et de fait pratiquent une concurrence déloyale au détriment des entreprises traditionnelles respectueuses de la réglementation et évoluant sur les mêmes créneaux.
Leur arrivée peut d’abord paraître bénéfique aux consommateurs et aux travailleurs, avec des prestations et des rémunérations avantageuses. En réalité, ce n’est que pour « casser le marché » dans lequel elles s’insèrent. Une fois que les entreprises traditionnelles sont affaiblies les prix augmentent et les salaires chutent. C’est de la concurrence déloyale et l’évolution de la desserte maritime de la Corse nous instruit à ce propos avec les opérateurs low cost.
Les travailleurs des plateformes numériques (TPN) sont soumis à une exploitation digne du siècle dernier. Privés du statut de l’emploi, ils n’ont aucun droit : Paiement à la tache, absence de salaire minimum ou d’assurance chômage, pas de protection face à la hiérarchie la rupture du contrat s’opère par : la « désactivation », aucune protection en cas d’accidents professionnels. Ces conditions de travail conduisent aussi au travail des mineurs et à l’exploitation des travailleurs sans papiers. Pour ces travailleurs la révolution numérique n’est pas une émancipation mais un carcan supplémentaire imposé par le libéralisme.
Pourtant, les juges ont reconnu la qualité de salarié des TPN, en l’occurrence, pour les deux types de plateformes de travail les plus problématiques au regard de la place qu’elles prennent sur le marché : une plateforme de livraison de repas et une plateforme de transport individuel de personnes (d’autres activités font l’objet d’un contournement de la réglementation par l’organisation en plateforme, telles que celle d’entretien domestique ou de menus travaux). En ce sens, l’implantation en Corse d’une plateforme UBER est d’autant plus inacceptable que le droit du travail y est déjà souvent bafoué.
Pour autant, les TPN se sont organisés notamment avec la CGT et leurs actions ont permis d’obtenir des évolutions réglementaires favorables en droit. En tenant compte de cela les parlementaires communistes ont déposé une proposition de loi ayant pour objet de poursuivre l’amélioration des conditions de travail des TPN après les décisions de la Cour de cassation. Cette proposition de loi vise à établir un cadre légal et contractuel respectueux des droits sociaux et garantissant l’autonomie à laquelle les TPN aspirent en termes de choix des jours, de durée et d’horaires de travail.
Tourner le regard face aux évolutions liées à la révolution informationnelle ne suffit pas il est indispensable de combiner celle-ci avec le progrès social et l’émancipation humaine. C’est ce combat que les communistes mènent partout contre UBER et le libéralisme numérique.
Jeudi 17 octobre à 20h30 au Théâtre Municipal de Bastia, TeatrEuropa en partenariat avec la Ville de Bastia et avec le soutien de la Collectivité de Corse dans le cadre de la manifestation « 15/35 le Théâtre m’appartient : projet HAUT LES CORPS», présente ORPHEE/ORFEO/ORFEU -Sons et mots dans un bestiaire
Le CPS di Corti vous informe de l'ouverture de la formation "Préqualification aux métiers de l'agriculture 2019 » qui présente les métiers du monde agricole et qui aide à la réflexion sur son projet d'installation.
Elle est idéale quand on veut candidater pour un BPREA et affiner son projet agricole.
La prochaine conférence du cycle AMPHIRA est programmée ce jeudi 10 octobre à 16h45 dans l’amphithéâtre de l’institut.
Elle sera organisée autour d’échanges entre M. Eric Denece, directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement, et le public présent dans la salle.
Toutes les personnes intéressées par cette rencontre seront les bienvenues dans la limite des places disponibles du grand amphithéâtre de l’IRA.
Réservations par téléphone au 04 95 32 87 00 (entre 08h30 et 12h00)