"La volonté de l’Etat de fermer au public la perception d’Aleria
s’inscrit dans le cadre d’une logique de démantèlement
d’un service public de proximité dont la Corse a sûrement
plus besoin que d’une sur-administration, notamment préfectorale, éloignée du citoyen et relayant des politiques de plus en plus arbitraires. Cette politique de l’Etat français, exclusivement guidée par une logique comptable, est inacceptable et contraire à la reconnaissance du statut d’île montagne de la Corse. Corsica Libera apporte son soutien aux agents et usagers qui sont les premiers concernés par ces décisions contraires à l’intérêt général, et aux politiques auxquelles nous participons en faveur du monde rural dans une logique d’équilibre territorial."