Depuis le 8 novembre, plus de 10 000 tonnes d’ordures ont déjà été stockées sur le site de Saint-Antoine. Et c’est chaque jour que plusieurs camions continuent leur va et vient pour y amener de nouvelles balles de déchets. Cette solution qui devait être temporaire perdure et les riverains qui n’ont cessés d’alerter sur les risques sanitaires graves, gardaient espoir avec la mise en place d’un protocole qui devait être signé par le SYVADEC, la Collectivité de Corse, la CAPA, l’Etat ou encore, le collectif « Valincu Lindu ». Un accord devait être trouvé avec ce dernier pour rouvrir temporairement le site de Vighjaneddu en attendant de pouvoir exporter les déchets.
Selon Alain Novello, membre du collectif de Saint-Antoine, « le protocole a été rédigé et a été envoyé aux différentes parties. Néanmoins, le collectif « Valincu Lindu » a refusé de le signer et a demandé à y ajouter de nouvelles conditions. »
Cela fait déjà quelques mois que le collectif dénonce un état d’urgence et menaçait de bloquer le site si la situation restait bloquée. Il vient de passer aux actes.
Un appel a été lancé sur les réseaux sociaux pour rappeler que cette situation de crise concerne toute la Corse.
Selon Alain Novello, membre du collectif de Saint-Antoine, « le protocole a été rédigé et a été envoyé aux différentes parties. Néanmoins, le collectif « Valincu Lindu » a refusé de le signer et a demandé à y ajouter de nouvelles conditions. »
Cela fait déjà quelques mois que le collectif dénonce un état d’urgence et menaçait de bloquer le site si la situation restait bloquée. Il vient de passer aux actes.
Un appel a été lancé sur les réseaux sociaux pour rappeler que cette situation de crise concerne toute la Corse.