Ce mercredi matin, peu avant 8 heures, plusieurs établissements scolaires de Bastia ont reçu des messages de menaces d'alerte à la bombe par email, selon les informations du rectorat confirmé par la préfecture. En coordination avec les forces de l'ordre, une évacuation immédiate a été ordonnée. Les lycées Giocante de Casabianca, Fred Scamaroni, Paul Vincensini, les collèges de Montesoro et Simon Vinciguerra, ainsi que les établissements privés, collège et lycée Jeanne d'Arc, ont été évacués, de même que l'inspection académique de Haute-Corse et le rectorat à Ajaccio, destinataires du même message. La circulation automobile dans le centre-ville de Bastia a été interrompue sur le boulevard Paoli, entre le palais de justice et la rue César-Campinchi.
Des équipes techniques de la police nationale et de la gendarmerie nationale, ont immédiatement été dépêchées sur les lieux pour effectuer une levée de doute. Durant cette période, les élèves ont été évacués et mis en sécurité. La levée de doute s'est achevée à 11 heures, permettant à tous de réintégrer les bâtiments concernés. Aucun élément suspect n’a été identifié. Selon les annonces des services de l’Éducation nationale, la réouverture des écoles se fera entre mercredi et jeudi, à la discrétion du chef d'établissement.
Dans un communiqué le préfet de Haute/Corse, Michel Prosic, souligne que ce type d’alerte à la bombe est déjà intervenu dans des établissements scolaires, des lieux culturels, des établissements sportifs ailleurs en France. Il rappelle aussi que le Code pénal stipule que la divulgation de fausses informations dans le but de créer une menace est sévèrement punie, avec des peines allant jusqu'à trois ans d'emprisonnement et 45 000 euros d'amende.
Des équipes techniques de la police nationale et de la gendarmerie nationale, ont immédiatement été dépêchées sur les lieux pour effectuer une levée de doute. Durant cette période, les élèves ont été évacués et mis en sécurité. La levée de doute s'est achevée à 11 heures, permettant à tous de réintégrer les bâtiments concernés. Aucun élément suspect n’a été identifié. Selon les annonces des services de l’Éducation nationale, la réouverture des écoles se fera entre mercredi et jeudi, à la discrétion du chef d'établissement.
Dans un communiqué le préfet de Haute/Corse, Michel Prosic, souligne que ce type d’alerte à la bombe est déjà intervenu dans des établissements scolaires, des lieux culturels, des établissements sportifs ailleurs en France. Il rappelle aussi que le Code pénal stipule que la divulgation de fausses informations dans le but de créer une menace est sévèrement punie, avec des peines allant jusqu'à trois ans d'emprisonnement et 45 000 euros d'amende.