C'est incontestable : depuis l'an 2 000 le Jazz Equinoxe propose un festival de Jazz et Blues de qualité.
"L'idée était d'offrir du jazz à un moment où les Musicales de Bastia n'en proposaient plus et où, seul, Calvi présentait ce style médical avec des restrictions au niveau des artistes présents" soulignait Michel Maestracci.
Le pari, sur ce plan,a été réussi. En tout cas au cours des quatorze éditions du Festival, de grands noms se sont succédé sur la scène bastiaise.
On ne va pas les citer tous mais Bastia a pu applaudir Joe Diorio, Spanky Wilson, Masters of Groove, Paolo Fresu, Monty Alexander, Mark Whitfield, John Lee Hooker, Doctor Feelgood, Pat Martino, Kyle Estwood, Elliot Murphy, Bule Coupe et Melody Gardot qui a marqué son passage au théâtre municipal.
La qualité, unanimement reconnue, est donc là. Le public aussi puisque l'audience est passée de 350 spectateurs en 2000 à 1 200 l'année dernière.
Et cela va continuer même si financièrement la charge est lourde à supporter pour l'association qui assure, grâce à ses partenaires privés et aux recettes des entrées 65% d'un budget de l'ordre de 650 000 €, le reste étant complété par les collectivités (CTC, mairie de Bastia qui a inscrit Jazz Equinoxe au programme du théâtre municipal et dans une moindre mesure le conseil général de Haute-Corse).
"L'idée était d'offrir du jazz à un moment où les Musicales de Bastia n'en proposaient plus et où, seul, Calvi présentait ce style médical avec des restrictions au niveau des artistes présents" soulignait Michel Maestracci.
Le pari, sur ce plan,a été réussi. En tout cas au cours des quatorze éditions du Festival, de grands noms se sont succédé sur la scène bastiaise.
On ne va pas les citer tous mais Bastia a pu applaudir Joe Diorio, Spanky Wilson, Masters of Groove, Paolo Fresu, Monty Alexander, Mark Whitfield, John Lee Hooker, Doctor Feelgood, Pat Martino, Kyle Estwood, Elliot Murphy, Bule Coupe et Melody Gardot qui a marqué son passage au théâtre municipal.
La qualité, unanimement reconnue, est donc là. Le public aussi puisque l'audience est passée de 350 spectateurs en 2000 à 1 200 l'année dernière.
Et cela va continuer même si financièrement la charge est lourde à supporter pour l'association qui assure, grâce à ses partenaires privés et aux recettes des entrées 65% d'un budget de l'ordre de 650 000 €, le reste étant complété par les collectivités (CTC, mairie de Bastia qui a inscrit Jazz Equinoxe au programme du théâtre municipal et dans une moindre mesure le conseil général de Haute-Corse).
L'après Melody Gardot
Mais les menaces de disparition demeurent. "Les temps sont durs et rien ne permet de savoir quelle sera la situation économique de l'Île dans six mois."
Cependant Michel Maestracci et toute l'équipe qui n'aimeraient rien entendre de tout cela travaillent à la programmation 2014. Après Melody Gardot qui a placé la barre très haut, on cite les noms de Peter Cincotti, Al Di Meola, Stacey Kent, Ana Calvi, Eric Truffaz et Incognito .
Ce qui est sûr, c'est qu'il y aura un grand sur la scène du théâtre en Avril 2014 "peut être en compagnie d'un autre grand nom pour compléter l'affiche ébauchée avec le Golden Gate Quartet."
Nous vous en reparlerons.
En attendant, le président de Jazz Equinoxe et tous les membres de l'association travaillent, au-delà de leur manifestation, à vulgariser ce jazz " musique de la rue que l'on intellectualise, alors que l'on pas besoin d'être initié pour l'apprécier : il n'y a qu'à l'écouter".
Cependant Michel Maestracci et toute l'équipe qui n'aimeraient rien entendre de tout cela travaillent à la programmation 2014. Après Melody Gardot qui a placé la barre très haut, on cite les noms de Peter Cincotti, Al Di Meola, Stacey Kent, Ana Calvi, Eric Truffaz et Incognito .
Ce qui est sûr, c'est qu'il y aura un grand sur la scène du théâtre en Avril 2014 "peut être en compagnie d'un autre grand nom pour compléter l'affiche ébauchée avec le Golden Gate Quartet."
Nous vous en reparlerons.
En attendant, le président de Jazz Equinoxe et tous les membres de l'association travaillent, au-delà de leur manifestation, à vulgariser ce jazz " musique de la rue que l'on intellectualise, alors que l'on pas besoin d'être initié pour l'apprécier : il n'y a qu'à l'écouter".
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