Un appel en fait aux futurs élus de la Collectivité unique.
Mais qu’attend le collectif de ces élus ? De l’Etat ?
La réponse était sur les tracts distribués.
Mais qu’attend le collectif de ces élus ? De l’Etat ?
La réponse était sur les tracts distribués.
« Qu’attendons-nous des futurs élus ? Entre-autres :
1) En attendant d’obtenir la coofficialité :
- De se doter des moyens nécessaires pour optimiser la « charte de la langue » de la CTC
- De veiller à ce que l’Etat respecte ses engagements dans l’éducation dans le cadre du plan 2020 (toutes les écoles maternelles bilingues, arriver à 40% d’habilités dans le secondaire…)
- De veiller à la création d’écoles immersives expérimentales publiques !
- De se battre pour obtenir le corse obligatoire à l’école
- D’engager
2) D’engager un rapport de force avec l’Etat s’il continue de nier nos revendications.
3) Qu’ils se prononcent clairement dans le cadre d’un statut de coofficialité :
- pour une immersion totale à l’école primaire
- pour une formation obligatoire à l’intérieur des entreprises de l’île.
Qu’attendons-nous de l’Etat français ?
1) Qu’il tienne ses engagements et qu’il se dote des moyens nécessaires pour satisfaire les objectifs qui ont été fixés dans l’éducation dans le cadre du plan 2020.
2) Qu’il n’invente des arguments juridiques pour freiner la progression de la langue corse dans la société (laissant recruter par corsophonie, les délibérations en corse dans les collectivités, la conditionnalité des aides pour les entreprises …)
3) Qu’il prenne en compte la volonté populaire qui est d’obtenir les moyens (la coofficialité .. avec un contenu) de construire une société bilingue (volonté exprimée par des mobilisations et des votes).