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« Mieux vaut tard que jamais ! » Pour le président de l’APC Denis Luciani, le déploiement des tests salivaires dans les établissements scolaires insulaires était attendu. « On le demande depuis le mois de décembre » précise t-il. « On est satisfaits. Il faut mener cette campagne et il faut qu’elle soit massive » indique Denis Luciani.
Début le 4 mars
Pour le moment, elle devrait débuter progressivement, avant de monter en puissance la semaine prochaine. L’école Forcioli Conti à Ajaccio sera le tout premier établissement concerné, dès jeudi 4 mars. L’opération est assurée en partenariat avec l’Agence régionale de santé de Corse et les laboratoires d’analyses insulaires.
La campagne est basée sur le volontariat, avec, pour les enfants mineurs, la nécessité d’obtenir l’autorisation des parents. L’objectif national, définit par le Premier ministre Jean Castex, est d’arriver à « 300 000 tests salivaires par semaine à l’école » à la mi-mars. On ne sait pas, pour l’heure, comment il se déclinera en Corse.
La campagne est basée sur le volontariat, avec, pour les enfants mineurs, la nécessité d’obtenir l’autorisation des parents. L’objectif national, définit par le Premier ministre Jean Castex, est d’arriver à « 300 000 tests salivaires par semaine à l’école » à la mi-mars. On ne sait pas, pour l’heure, comment il se déclinera en Corse.
Prendre toutes les mesures nécessaires
Malgré ce qu’il considère comme une avancée, Denis Luciani ne cache pas son inquiétude. « Le virus circule dans les établissements scolaires. Les variants sont arrivés. À partir de là, il faut prendre toutes les mesures nécessaires » prévient-il.
Et, pour lui, « le changement de protocole ne va pas du tout dans le bon sens ». Depuis le 12 février, la présence d'un cas de variant anglais n'entraîne plus la fermeture automatique d'une classe au niveau élémentaire, au collège et au lycée. « Cela vise uniquement à casser le thermomètre. On veut un protocole plus strict. » conclut Denis Luciani.
Et, pour lui, « le changement de protocole ne va pas du tout dans le bon sens ». Depuis le 12 février, la présence d'un cas de variant anglais n'entraîne plus la fermeture automatique d'une classe au niveau élémentaire, au collège et au lycée. « Cela vise uniquement à casser le thermomètre. On veut un protocole plus strict. » conclut Denis Luciani.