"Tout le monde se pose des questions et il y a de quoi" affirme Paul Marcaggi. Même si depuis ce lundi matin chacun "se renvoie la balle" pour le président de la CCI de Corse-du-Sud "le joueur c’est la Direction Départementale des Territoires et de la Mer (DDTM)."
Selon Marcaggi non seulement il n’y avait personne sur le bateau, mais personne n’a été en mesure non plus de réagir rapidement à terre. "On se demande comment cela se fait que les amarres n’ont pas été sécurisées, qu’il n’y ait personne à bord, et que le temps de réaction ait été aussi long."
"La CCI a mis a disposition un coffre d’amarrage refait entièrement mais la responsabilité pleine et entière revient à la DDTM. - ajoute le président - Aujourd'hui on s’interroge car on avait voulu construire un projet de parking aux phares et balises et on nous avait objecté qu’il y avait 21 personnes qui travaillaient là-bas mais personne n’a été là au moments des faits".
Selon Marcaggi non seulement il n’y avait personne sur le bateau, mais personne n’a été en mesure non plus de réagir rapidement à terre. "On se demande comment cela se fait que les amarres n’ont pas été sécurisées, qu’il n’y ait personne à bord, et que le temps de réaction ait été aussi long."
"La CCI a mis a disposition un coffre d’amarrage refait entièrement mais la responsabilité pleine et entière revient à la DDTM. - ajoute le président - Aujourd'hui on s’interroge car on avait voulu construire un projet de parking aux phares et balises et on nous avait objecté qu’il y avait 21 personnes qui travaillaient là-bas mais personne n’a été là au moments des faits".