Selon une information de nos confrères du Point, un major de police a été placé en garde à vue, jeudi 8 avril, dans le cadre de l’enquête sur la « taupe » du Petit-Bar. Il est suspecté d’avoir fourni des informations à certains membres de la bande, qui ont ainsi pu échapper à une interpellation.
Le fonctionnaire avait déjà été entendu par l’IGPN en février dernier, puis remis en liberté le soir même. Son avocat, Maitre Antoine Vinier-Orsetti avait alors dénoncé le procédé, estimant que cette garde-à-vue avait été décidée sur la seule base d’un article de presse - soit l’article du journal Le Monde.
Après cette nouvelle garde-à-vue, Maître Vinier-Orsetti se dit « surpris, dans la mesure où il n’y a pas d’éléments nouveaux entre février et avril ». Pour l’avocat, son client « a répondu à toutes les questions » des enquêteurs. « Ce qui lui est reproché, c’est d’avoir contacté son ami de treize ans. Il lui arrivait quotidiennement de prendre un café avec lui » indique t-il. « Il se défend d’avoir commis la moindre infraction. Mon client n’a jamais eu d’informations et s’il les avait eues, il ne les aurait pas divulguées. » conclut-il.
Le fonctionnaire de police devrait être présenté à un juge d’instruction de la Jirs de Marseille ce lundi 12 avril, qui décidera de sa mise en examen.
Le fonctionnaire avait déjà été entendu par l’IGPN en février dernier, puis remis en liberté le soir même. Son avocat, Maitre Antoine Vinier-Orsetti avait alors dénoncé le procédé, estimant que cette garde-à-vue avait été décidée sur la seule base d’un article de presse - soit l’article du journal Le Monde.
Après cette nouvelle garde-à-vue, Maître Vinier-Orsetti se dit « surpris, dans la mesure où il n’y a pas d’éléments nouveaux entre février et avril ». Pour l’avocat, son client « a répondu à toutes les questions » des enquêteurs. « Ce qui lui est reproché, c’est d’avoir contacté son ami de treize ans. Il lui arrivait quotidiennement de prendre un café avec lui » indique t-il. « Il se défend d’avoir commis la moindre infraction. Mon client n’a jamais eu d’informations et s’il les avait eues, il ne les aurait pas divulguées. » conclut-il.
Le fonctionnaire de police devrait être présenté à un juge d’instruction de la Jirs de Marseille ce lundi 12 avril, qui décidera de sa mise en examen.