Les blacks ?
Le 31 août 2007, alors en route pour le Mondial, qu'ils ont perdu, les Néo-Zélandais, avant de gagner leur lieu de résidence à Marseille, avaient séjourné sur l'île de Beauté pendant deux jours. Le temps de se remettre du voyage et de s'acclimater en toute tranquillité.
Le 31 août 2007, alors en route pour le Mondial, qu'ils ont perdu, les Néo-Zélandais, avant de gagner leur lieu de résidence à Marseille, avaient séjourné sur l'île de Beauté pendant deux jours. Le temps de se remettre du voyage et de s'acclimater en toute tranquillité.
La sélection néo-zélandaise était arrivée à 21heures à l'aéroport d'Ajaccio, pour une "visite privée" de deux jours avant le début de la compétition
Les joueurs, l'air fatigué après 24 heures de voyage, avaient consenti en souriant à signer des autographes aux quelques enfants présents dans le hall d'arrivée et à poser pour des voyageurs munis de téléphone portable mais sans jamais prononcer un mot.
Une centaine de supporters avaient néanmoins pu se rassembler à la sortie de l'aéroport pour leur faire signer des ballons, photos et carnets.
Les All Blacks avaient profité de ces deux jours pour se remettre du décalage horaire avant de gagner Marseille où ils ont disputé leur premier match de la Coupe du monde face à l'Italie, samedi 8 septembre.
Le lendemain matin ils ont effectué un décrassage ouvert au public sur le stade de Mezzavia, et inauguré le stade à Vignetta.
Durant ce séjour sur l'île de Beauté, les Blacks avaient été hébergés à Porticcio.
Si les All Blacks, attachés à leur tranquillité, n'ont eu que très peu de contacts directs avec leurs supporters, ils n'en ont pas moins répondu aux sollicitations de plusieurs de leurs fans en se prêtant de bonne grâce à quelques petites séquences photographiques.
À Ajaccio nul n'a oublié ces attentions néo-zélandaises.
Les joueurs, l'air fatigué après 24 heures de voyage, avaient consenti en souriant à signer des autographes aux quelques enfants présents dans le hall d'arrivée et à poser pour des voyageurs munis de téléphone portable mais sans jamais prononcer un mot.
Une centaine de supporters avaient néanmoins pu se rassembler à la sortie de l'aéroport pour leur faire signer des ballons, photos et carnets.
Les All Blacks avaient profité de ces deux jours pour se remettre du décalage horaire avant de gagner Marseille où ils ont disputé leur premier match de la Coupe du monde face à l'Italie, samedi 8 septembre.
Le lendemain matin ils ont effectué un décrassage ouvert au public sur le stade de Mezzavia, et inauguré le stade à Vignetta.
Durant ce séjour sur l'île de Beauté, les Blacks avaient été hébergés à Porticcio.
Si les All Blacks, attachés à leur tranquillité, n'ont eu que très peu de contacts directs avec leurs supporters, ils n'en ont pas moins répondu aux sollicitations de plusieurs de leurs fans en se prêtant de bonne grâce à quelques petites séquences photographiques.
À Ajaccio nul n'a oublié ces attentions néo-zélandaises.
"Représentants du peuple corse"
Les Boks ?
Ils ont touché le cœur de plusieurs milliers de nos compatriotes en affirmant publiquement à leur arrivée à leur camp de base de Toulon, leur affection pour la Corse.
"Nous représentons bien sûr l'Afrique du Sud, mais dans notre cœur nous représentons également le peuple corse" a souligné le capitaine des Springboks et futur parisien Siya Kolisi - il a signé au Racing - dès sa prise de parole à Toulon.
Suffisant pour faire rallier des milliers d'insulaires à la cause des Boks.
Mais les Sudafricains avaient déjà fait ce qu'il fallait durant leur séjour entre Biguglia et Lumio pour s'attirer la sympathie du public corse.
Sollicités durant de longs instants, après leurs séances d'entraînement, ils n'ont jamais refusé une seule fois une demande de selfie ou bien de poser avec qui leur demandait. Ils ont accepté de partager leur expérience avec tous les jeunes des écoles de rugby de Corse à Lumio. Ils sont encore allés à la rencontre des enfants de l'Éveil et jamais hésité à s'initier à la langue du pays.
Aussi aujourd'hui ils sont à même quand vous les rencontrez de pouvoir vous poser la question de savoir comment vous allez en vous lançant un enthousiaste "cumè simu ?"
Et puis il ne faut pas oublier que sous leurs crampons il reste encore un peu de cette terre de Corse, foulée à Biguglia et à Lumio, et qui aimerait être associée à leur éventuel quatrième sacre mondial !
Ils ont touché le cœur de plusieurs milliers de nos compatriotes en affirmant publiquement à leur arrivée à leur camp de base de Toulon, leur affection pour la Corse.
"Nous représentons bien sûr l'Afrique du Sud, mais dans notre cœur nous représentons également le peuple corse" a souligné le capitaine des Springboks et futur parisien Siya Kolisi - il a signé au Racing - dès sa prise de parole à Toulon.
Suffisant pour faire rallier des milliers d'insulaires à la cause des Boks.
Mais les Sudafricains avaient déjà fait ce qu'il fallait durant leur séjour entre Biguglia et Lumio pour s'attirer la sympathie du public corse.
Sollicités durant de longs instants, après leurs séances d'entraînement, ils n'ont jamais refusé une seule fois une demande de selfie ou bien de poser avec qui leur demandait. Ils ont accepté de partager leur expérience avec tous les jeunes des écoles de rugby de Corse à Lumio. Ils sont encore allés à la rencontre des enfants de l'Éveil et jamais hésité à s'initier à la langue du pays.
Aussi aujourd'hui ils sont à même quand vous les rencontrez de pouvoir vous poser la question de savoir comment vous allez en vous lançant un enthousiaste "cumè simu ?"
Et puis il ne faut pas oublier que sous leurs crampons il reste encore un peu de cette terre de Corse, foulée à Biguglia et à Lumio, et qui aimerait être associée à leur éventuel quatrième sacre mondial !
Alors ?
Le cœur dit Boks
La raison, elle, dit Blacks !
Le cœur dit Boks
La raison, elle, dit Blacks !