Autour de la table des négociations, MM. De Beauchamp, administrateur provisoire, G. Andreani, coordonnateur général des soins, D. Acker, administrateur provisoire et directrice de l'établissement, F.-G. Colonna, délégué, Mme Bastelica, cadre supérieur de santé et M. Filleul, directeur des travaux
Le personnel de l'hôpital Eugénie est résolument tourné vers l'avenir. L'établissement du boulevard du front de mer veut en finir avec cette situation particulièrement difficile, tant au niveau des conditions de travail que des structures à bout de souffle et des promesses qui s'envolent. La prise de position de lundi a remis les choses en ordre ou à peu près. Tous, sans exception, se battent pour apporter le meilleur aux pensionnaires mais sont - comme on les comprend - à bout de nerf compte tenu des conditions de travail exécrables.
Matrdi en fin d'après-midi, les administrateurs provisoires et le personnel ont fait un point sur les réunions du jour non sans revenir sur l'arrêté de fermeture pris par la municipalité il y a quelques jours: "Nous ne nous attendions pas à recevoir ce genre de courrier d'autant que le Conseil de Surveillance ne s'était pas réuni. Cela est d'autant plus surprenant que des travaux d'urgence avaient été engagés à tous les niveaux. Y -a-t-il eu un problème de procédure? Toujours est-il que les travaux de rénovation avaient été pourtant entamés et qu'au vu de notre dossier, nous avions pris en compte le maximum d'observations, notamment au niveau de la sécurité."
L'aide du Ministère
Il se pourrait que l'avis de fermeture soit arrivé un peu trop tôt, alors même que les travaux d'urgence venaient d'être entamés...d'autant que, comme le précise Mme Acker, administrateur provisoire et directrice de l'établissement: "nous avons fait remonter un certain nombre d'informations au Ministère et il se trouve que dans la lettre notifiée par la ministre le 20 Décembre dernier, il y avait le principe d'un accompagnement de l'établissement concernant les travaux de sécurité incendie et l'amélioration des conditions d'hébergement. Sur ce point, le Ministère s'est engagé à nous aider. ." Ce qui a été fait.
Matrdi en fin d'après-midi, les administrateurs provisoires et le personnel ont fait un point sur les réunions du jour non sans revenir sur l'arrêté de fermeture pris par la municipalité il y a quelques jours: "Nous ne nous attendions pas à recevoir ce genre de courrier d'autant que le Conseil de Surveillance ne s'était pas réuni. Cela est d'autant plus surprenant que des travaux d'urgence avaient été engagés à tous les niveaux. Y -a-t-il eu un problème de procédure? Toujours est-il que les travaux de rénovation avaient été pourtant entamés et qu'au vu de notre dossier, nous avions pris en compte le maximum d'observations, notamment au niveau de la sécurité."
L'aide du Ministère
Il se pourrait que l'avis de fermeture soit arrivé un peu trop tôt, alors même que les travaux d'urgence venaient d'être entamés...d'autant que, comme le précise Mme Acker, administrateur provisoire et directrice de l'établissement: "nous avons fait remonter un certain nombre d'informations au Ministère et il se trouve que dans la lettre notifiée par la ministre le 20 Décembre dernier, il y avait le principe d'un accompagnement de l'établissement concernant les travaux de sécurité incendie et l'amélioration des conditions d'hébergement. Sur ce point, le Ministère s'est engagé à nous aider. ." Ce qui a été fait.
D'autres travaux
Outre ces travaux de sécurité incendie, ascenseurs, d'autres travaux vont être entrepris au niveau de la sécurisation de l'établissement par rapport à l'étanchéité du bâtiment et à sa sécurité: " Avec l' ARS et le conseil général, nous allons entreprendre la rénovation de l'établissement sur place. Nous venons d'ailleurs de créer une unité pour les patients atteints de maladie d'Alzheimer et sommes en train d'expérimenter le fait qu'il est tout à fait possible de rénover dans de très bonnes conditions. Nous pensons qu'avec notre expérience et le budget dont nous devrions disposer, nous pouvons aller voir l'ARS, le maire et le conseil général pour qu'on puisse bâtir un échéancier."
J. F.
J. F.