- Vous avez été couronnée il y a juste quelques jours, comment vous sentez-vous ?
- Je suis toujours sur un petit nuage, j’essaie de redescendre petit à petit, de réaliser que, effectivement, je suis Miss Corse. Mais j’ai encore du mal ! Toute petite, je regardais l’élection à la télé, avec une robe de princesse et une petite couronne sur la tête ! Je rêvais d’être une Miss chaque année au mois de décembre, mais j’avoue qu’il y a une sacrée différence entre s’imaginer être Miss Corse et le devenir ! Je souhaite d’ailleurs rendre hommage à Geneviève de Fontenay, “la dame au chapeau” qui restera une figure emblématique de Miss France (NDLR Geneviève de Fontenay est décédée le 1er août).
- Comment est votre vie depuis ce jour ?
- J’ai enchaîné très vite les shootings photo, les interviews, depuis samedi matin en fait, c’est un vrai tourbillon! À côté de ça, je travaille pour l’été dans un centre aéré à Ajaccio, avec des petits entre 3 et 5 ans, donc j’ai peu de temps et je dois jongler avec les deux.
- Vous avez reçu beaucoup de soutien autour de vous, quels ont été les retours suite à votre couronnement ?
- Ma famille, mes amis et mes proches sont évidemment très fiers et heureux pour moi. C'est vraiment touchant de voir autant de soutien. Au centre aéré où je travaille cet été, la petite fille d'une amie m'appelait déjà "Miss Corse" toute la journée, c'était très amusant ! J'ai aussi reçu de nombreux messages de félicitations de personnes que je ne connais même pas, c'est très gratifiant.
- Vous avez évoqué quelques commentaires moins bienveillants, comment réagissez-vous face à cela ?
- Effectivement, il y a eu quelques remarques sur mes origines, car je ne suis pas née en Corse et que mon nom de famille n'est pas d'origine corse. Mais pour moi, la Corse est mon chez-moi depuis que j'ai 6 mois, j'y ai grandi, fait mes études, et j'y vis depuis toujours. Je suis Corse de cœur, et c'est ce qui compte le plus pour moi. Je suis fière aujourd’hui de porter la couronne de Miss Corse. Mon défi sera de la porter le plus loin possible, vous pouvez compter sur moi.
- Vous souhaitez passer le concours pour devenir professeur des écoles.C omment va se passer votre rentrée, entre études et concours Miss France ?
- J’ai validé mon master cette année, mais je n’ai pas réussi le concours de professeur des écoles. J’avoue que c’était compliqué, j’avais un job étudiant, beaucoup de travail et je n’ai pas validé l’écrit. J’ai prévu de le repasser l’année prochaine et pour me donner toutes les chances, je me suis inscrite pour un DU (diplôme universitaire) qui me permettra de me préparer à nouveau au concours. Bien évidemment en aménageant également au mieux mon temps pour ce qui va suivre après cette élection. Le comité Miss Corse est déjà à mes côtés pour préparer activement la suite de l’aventure, qui s’annonce riche et pleine de belles choses. A commencer par la semaine en Guyane au mois de novembre et 3 semaines de préparation et de répétitions à Dijon, avant le grand soir de l’élection le 16 décembre.
Aujourd’hui j’ai toujours du mal à réaliser tout ça, je n’arrive pas encore à me projeter et à
m’imaginer sur la scène de Miss France, même si c'st très excitant. Mais petit à petit je m’y prépare mentalement et je sais que le comité sera là pour m’y aider. Je suis sûre que, de toute façon, ce sera une super aventure.
- Je suis toujours sur un petit nuage, j’essaie de redescendre petit à petit, de réaliser que, effectivement, je suis Miss Corse. Mais j’ai encore du mal ! Toute petite, je regardais l’élection à la télé, avec une robe de princesse et une petite couronne sur la tête ! Je rêvais d’être une Miss chaque année au mois de décembre, mais j’avoue qu’il y a une sacrée différence entre s’imaginer être Miss Corse et le devenir ! Je souhaite d’ailleurs rendre hommage à Geneviève de Fontenay, “la dame au chapeau” qui restera une figure emblématique de Miss France (NDLR Geneviève de Fontenay est décédée le 1er août).
- Comment est votre vie depuis ce jour ?
- J’ai enchaîné très vite les shootings photo, les interviews, depuis samedi matin en fait, c’est un vrai tourbillon! À côté de ça, je travaille pour l’été dans un centre aéré à Ajaccio, avec des petits entre 3 et 5 ans, donc j’ai peu de temps et je dois jongler avec les deux.
- Vous avez reçu beaucoup de soutien autour de vous, quels ont été les retours suite à votre couronnement ?
- Ma famille, mes amis et mes proches sont évidemment très fiers et heureux pour moi. C'est vraiment touchant de voir autant de soutien. Au centre aéré où je travaille cet été, la petite fille d'une amie m'appelait déjà "Miss Corse" toute la journée, c'était très amusant ! J'ai aussi reçu de nombreux messages de félicitations de personnes que je ne connais même pas, c'est très gratifiant.
- Vous avez évoqué quelques commentaires moins bienveillants, comment réagissez-vous face à cela ?
- Effectivement, il y a eu quelques remarques sur mes origines, car je ne suis pas née en Corse et que mon nom de famille n'est pas d'origine corse. Mais pour moi, la Corse est mon chez-moi depuis que j'ai 6 mois, j'y ai grandi, fait mes études, et j'y vis depuis toujours. Je suis Corse de cœur, et c'est ce qui compte le plus pour moi. Je suis fière aujourd’hui de porter la couronne de Miss Corse. Mon défi sera de la porter le plus loin possible, vous pouvez compter sur moi.
- Vous souhaitez passer le concours pour devenir professeur des écoles.C omment va se passer votre rentrée, entre études et concours Miss France ?
- J’ai validé mon master cette année, mais je n’ai pas réussi le concours de professeur des écoles. J’avoue que c’était compliqué, j’avais un job étudiant, beaucoup de travail et je n’ai pas validé l’écrit. J’ai prévu de le repasser l’année prochaine et pour me donner toutes les chances, je me suis inscrite pour un DU (diplôme universitaire) qui me permettra de me préparer à nouveau au concours. Bien évidemment en aménageant également au mieux mon temps pour ce qui va suivre après cette élection. Le comité Miss Corse est déjà à mes côtés pour préparer activement la suite de l’aventure, qui s’annonce riche et pleine de belles choses. A commencer par la semaine en Guyane au mois de novembre et 3 semaines de préparation et de répétitions à Dijon, avant le grand soir de l’élection le 16 décembre.
Aujourd’hui j’ai toujours du mal à réaliser tout ça, je n’arrive pas encore à me projeter et à
m’imaginer sur la scène de Miss France, même si c'st très excitant. Mais petit à petit je m’y prépare mentalement et je sais que le comité sera là pour m’y aider. Je suis sûre que, de toute façon, ce sera une super aventure.