Paddon
Le tracé était le même que l’année dernière et le pilote Ford a mis tout le monde d’accord en moins de 4 minutes sur un tracé réputé pointu. Le pilote français était en effet parti en troisième position mais a très vite pris les devants au deuxième passage. Il gagne une seconde sur le temps réalisé l’an dernier sur le même parcours. Sébastien Ogier est suivi de près par Paddon (Hyundai) et Meeke (Citroën) à 6 et 9 dixièmes. On retrouve ensuite Thierry Neuville (Hyundai), Latvala (Toyota) Tänak (Ford) et Dani Sordo (Hyundai) à quelques secondes. En WRC 2, c’est Stéphane Lefebvre qui l’emporte au volant de sa Citroën (9 e ) suivi de Mikkelsen (Skoda) et Eric Camilli (Fiesta).
Championnat : trois vainqueurs différents
Quatrième épreuve de la saison d’un championnat du monde très ouvert, le Tour de Corse affiche pour sa première journée trois constructeurs différents aux trois premières places.
Comme pour les trois épreuves du début de saison. C’est dire si la bataille sera rude pour une poignée de jeunes gens qui veulent se faire un nom sur l’une des plus prestigieuses épreuves du calendrier. Au même titre que les constructeurs d’ailleurs qui ne sont pas venus sur l’île pour faire de la figuration ni même du tourisme ! Et dire qu’en tout début de saison, alors même que VW se retirait du championnat du monde et que le quadruple champion se retrouvait sans volant, on ne donnait guère de chance au championnat du monde des rallyes…
Et pan ! En trois épreuves, trois vainqueurs différents avec notamment Ford, revenu tâter le terrain avec sa Fiesta-Sport. Sébastien Ogier, qui entre temps avait rejoint le Team Ford-M de Malcom Wilson, s’imposait brillamment au Monte-Carlo, Toyota, poursuivant ses essais en faisait de même dans la poudreuse de Suède avec un Latvala en état de grâce, et voilà que Citroën se met un sombrero intégral pour l’emporter au Mexique avec Meeke. Que dire que Hyundai qui a joué chaque fois les trouble-fête et qui aurait pu tout aussi bien l’emporter ?
Cela nous promet un Tour de Corse grandement animé avec cette horde de pilotes pointus qui vont s’en donner à cœur joie trois jours durant. Ils ne vont pas se faire de cadeau, bien au contraire car le championnat sera fortement disputé sur des terrains qui favorisent les uns et pénalisent les autres.
Le menu du jour
La place Miot était noire de monde, cela on s’en doutait et les équipages qui arrivaient au fil des minutes souriants, détendus. Qu’en sera-t- il cet après-midi à la même heure ? Une bonne nuit de repos et c’est reparti pour un tour, le soixantième, qui s’inscrira dans l’histoire de l’île et dans la mémoire populaire.
Vendredi matin aura lieu le grande départ d’Ajaccio à partir de 8 h 15. La caravane se rendra à Porticcio puis les pilotes se dirigeront vers le début de la Spéciale 1 :
ES 1. Pietrosella-Albitreccia (31,2 km). Départ de la première voiture à 9 h 22
ES 2. Liamone-Sarrola Carcopino (29,1 km) : Départ de la première voiture à 11h 14
ES 3. Pietrosella-Albitreccia : départ à 14 h 11
ES 4. Liamone-Sarrola Carcopino : départ à 16 h 03
Une première journée avec des classiques du Tour qui n’engendrent pas la mélancolie tant les tracés sont différents et surtout coriaces. Pietrosella-Albitreccia, c’est la grosse attaque entre courbes et serrés, montées et descentes avec épingles en toile de fond. Le bonheur des spectateurs.
L’autre épreuve du Liamone ne manque pas de piquant mais attention aux portions rapides, elles ne pardonnent pas la moindre défaillance et cela, les pilotes le savent. La remontée vers le col devrait constituer un spectacle de grande qualité.
Championnat : trois vainqueurs différents
Quatrième épreuve de la saison d’un championnat du monde très ouvert, le Tour de Corse affiche pour sa première journée trois constructeurs différents aux trois premières places.
Comme pour les trois épreuves du début de saison. C’est dire si la bataille sera rude pour une poignée de jeunes gens qui veulent se faire un nom sur l’une des plus prestigieuses épreuves du calendrier. Au même titre que les constructeurs d’ailleurs qui ne sont pas venus sur l’île pour faire de la figuration ni même du tourisme ! Et dire qu’en tout début de saison, alors même que VW se retirait du championnat du monde et que le quadruple champion se retrouvait sans volant, on ne donnait guère de chance au championnat du monde des rallyes…
Et pan ! En trois épreuves, trois vainqueurs différents avec notamment Ford, revenu tâter le terrain avec sa Fiesta-Sport. Sébastien Ogier, qui entre temps avait rejoint le Team Ford-M de Malcom Wilson, s’imposait brillamment au Monte-Carlo, Toyota, poursuivant ses essais en faisait de même dans la poudreuse de Suède avec un Latvala en état de grâce, et voilà que Citroën se met un sombrero intégral pour l’emporter au Mexique avec Meeke. Que dire que Hyundai qui a joué chaque fois les trouble-fête et qui aurait pu tout aussi bien l’emporter ?
Cela nous promet un Tour de Corse grandement animé avec cette horde de pilotes pointus qui vont s’en donner à cœur joie trois jours durant. Ils ne vont pas se faire de cadeau, bien au contraire car le championnat sera fortement disputé sur des terrains qui favorisent les uns et pénalisent les autres.
Le menu du jour
La place Miot était noire de monde, cela on s’en doutait et les équipages qui arrivaient au fil des minutes souriants, détendus. Qu’en sera-t- il cet après-midi à la même heure ? Une bonne nuit de repos et c’est reparti pour un tour, le soixantième, qui s’inscrira dans l’histoire de l’île et dans la mémoire populaire.
Vendredi matin aura lieu le grande départ d’Ajaccio à partir de 8 h 15. La caravane se rendra à Porticcio puis les pilotes se dirigeront vers le début de la Spéciale 1 :
ES 1. Pietrosella-Albitreccia (31,2 km). Départ de la première voiture à 9 h 22
ES 2. Liamone-Sarrola Carcopino (29,1 km) : Départ de la première voiture à 11h 14
ES 3. Pietrosella-Albitreccia : départ à 14 h 11
ES 4. Liamone-Sarrola Carcopino : départ à 16 h 03
Une première journée avec des classiques du Tour qui n’engendrent pas la mélancolie tant les tracés sont différents et surtout coriaces. Pietrosella-Albitreccia, c’est la grosse attaque entre courbes et serrés, montées et descentes avec épingles en toile de fond. Le bonheur des spectateurs.
L’autre épreuve du Liamone ne manque pas de piquant mais attention aux portions rapides, elles ne pardonnent pas la moindre défaillance et cela, les pilotes le savent. La remontée vers le col devrait constituer un spectacle de grande qualité.