Le journaliste Jean-Jacques Bourdin a fermement nié ce mardi 15 février, l'accusation d'agression sexuelle, qui fait l'objet d'une enquête à Paris, ou les comportements sexistes formulés dans un article de Mediapart lundi.
Le journaliste, écarté temporairement de l'antenne sur BFMTV et RMC, "conteste fermement avoir eu des agissements ou des attitudes susceptibles d'être réprimés par la loi, tant dans sa sphère professionnelle qu'en dehors", dans un communiqué transmis à l'AFP par son avocat Me Christian Saint-Palais. "Dès lors que la justice est saisie, y compris pour des périodes couvertes par la prescription, il attend sereinement les décisions qui seront rendues", poursuit le texte.
Des faits qui pourraient être prescrits
La journaliste Fanny Agostini, ancienne présentatrice météo de RMC-BFMTV, passée ensuite par Thalassa, a indiqué lundi dans Mediapart être à l'origine de la plainte pour « tentative d'agression sexuelle » déposée contre l'intervieweur, pour des faits qui se seraient produits en 2013 en Corse, à Calvi.
Les faits dénoncés par Mme Agostini pourraient être prescrits puisque le délai en la matière est de six ans et que la plainte date de janvier 2022. L'article de Mediapart recueille d'autres témoignages visant M. Bourdin, certains anonymes, d'autres identifiés, dont celui de Sidonie Bonnec qui évoque des commentaires considérés comme déplacés dans la sphère professionnelle.
"Jean-Jacques Bourdin découvre dans la presse les griefs formulés contre lui pour la première fois, souvent sous couvert d'anonymat, pour de prétendus faits parfois anciens de plus de vingt ans", poursuit le communiqué. "Il exprime sa reconnaissance à celles et ceux qui lui apportent leur soutien", ajoute le texte.
Une enquête a été confiée par le parquet de Paris au commissariat du XVIe arrondissement et une enquête interne a été ouverte par Altice, maison mère de BFMTV et RMC.
Le journaliste, écarté temporairement de l'antenne sur BFMTV et RMC, "conteste fermement avoir eu des agissements ou des attitudes susceptibles d'être réprimés par la loi, tant dans sa sphère professionnelle qu'en dehors", dans un communiqué transmis à l'AFP par son avocat Me Christian Saint-Palais. "Dès lors que la justice est saisie, y compris pour des périodes couvertes par la prescription, il attend sereinement les décisions qui seront rendues", poursuit le texte.
Des faits qui pourraient être prescrits
La journaliste Fanny Agostini, ancienne présentatrice météo de RMC-BFMTV, passée ensuite par Thalassa, a indiqué lundi dans Mediapart être à l'origine de la plainte pour « tentative d'agression sexuelle » déposée contre l'intervieweur, pour des faits qui se seraient produits en 2013 en Corse, à Calvi.
Les faits dénoncés par Mme Agostini pourraient être prescrits puisque le délai en la matière est de six ans et que la plainte date de janvier 2022. L'article de Mediapart recueille d'autres témoignages visant M. Bourdin, certains anonymes, d'autres identifiés, dont celui de Sidonie Bonnec qui évoque des commentaires considérés comme déplacés dans la sphère professionnelle.
"Jean-Jacques Bourdin découvre dans la presse les griefs formulés contre lui pour la première fois, souvent sous couvert d'anonymat, pour de prétendus faits parfois anciens de plus de vingt ans", poursuit le communiqué. "Il exprime sa reconnaissance à celles et ceux qui lui apportent leur soutien", ajoute le texte.
Une enquête a été confiée par le parquet de Paris au commissariat du XVIe arrondissement et une enquête interne a été ouverte par Altice, maison mère de BFMTV et RMC.