Stade de l'Aube, ESTAC Troyes : 2 SC Bastia : 0 (1-0)
Buts pour Troyes : Esilor (10e), Ilic (89e)
Arbitre : Faouzi Benchabane.
Avertissements : Zoukrou (38e), Palaversa (88e), Ilic (90e) à Troyes; à Bastia
Exclusions : Ducrocq (33e) à Bastia
ESTAC Troyes
Alemdar - Zoukrou,Tahrat, Ndiaye, Ntim, Boura - Kanté puis Assoumou (78e) , Chavalerin, Bangré puis Ilic (63e) Diop puis Ripart (63e) - Saïd puis Palaversa (78e), Elisor
SC Bastia
Placide - Dramé, Roncaglia puis Loubatières (90e), Okou, Tavares - Siby puis Vincent (64e), Ducrocq, Bohnert - Charbonnier puis Bianchini (84e), Santelli puis Tomi (90e), Alfarela puis Conte (64e)
Ce n'est pas parce que dans le camp opposé les Corses ont retrouvé un ex-Bastiais qu'ils sont venus dans l'Aube faire des cadeaux. Bien au contraire. Forts de l'apport de leur nouveau binôme technique Moretti- Laslandes ils ont fait le déplacement avec la ferme intention de prendre leurs distances avec le club troyen qui avant le coup d'envoi se trouvait en position de relégable.
D'entrée, les visiteurs, ayant troqué leur bleu légendaire avec du blanc, portaient le jeu dans le camp troyen, pressaient haut et bousculaient les joueurs de l'ESTAC sans pourtant parvenir à les déstabiliser.
C'était au contraire Troyes, contre le cours du jeu, qui allait ouvrir la marque à la 11e minute quand sur une longue passe de Boura, Dramé se faisait surprendre par Simon Elisor parti dans son dos et qui intelligemment et de fort belle façon se jouait, au terme, d'un superbe lob de Placide !
Bastia accusait alors le coup. À l'inverse Troyes reprenait du poil de la bête. D'autant qu'à la demi-heure de jeu M. Benchabane renvoyait Ducrocq aux vestiaires pour ce pied en avant sur le ventre de Diop. C'était maladroit, certes, mais très dangereux.
La question était alors de savoir si Bastia, déjà en difficulté dans le jeu, et désormais à dix contre onze, et n'arrivant pas à se créer une occasion, allait bien pouvoir, éventuellement, renverser la vapeur.
La question se posait à la pause.
Elle était encore d'actualité à la reprise, mais avec un Sporting qui parvenait parfois à mettre la pression sur l'adversaire, mais revers de la médaille de cette bonne volonté de ne pas repartir bredouille, il se découvrait.
Mais fort heureusement, malgré l'avantage au score et la supériorité numérique, les Troyens ne parvenaient pas à imposer leur jeu et attaquaient de manière bien trop désordonnée pour "tuer" le match.
Buts pour Troyes : Esilor (10e), Ilic (89e)
Arbitre : Faouzi Benchabane.
Avertissements : Zoukrou (38e), Palaversa (88e), Ilic (90e) à Troyes; à Bastia
Exclusions : Ducrocq (33e) à Bastia
ESTAC Troyes
Alemdar - Zoukrou,Tahrat, Ndiaye, Ntim, Boura - Kanté puis Assoumou (78e) , Chavalerin, Bangré puis Ilic (63e) Diop puis Ripart (63e) - Saïd puis Palaversa (78e), Elisor
SC Bastia
Placide - Dramé, Roncaglia puis Loubatières (90e), Okou, Tavares - Siby puis Vincent (64e), Ducrocq, Bohnert - Charbonnier puis Bianchini (84e), Santelli puis Tomi (90e), Alfarela puis Conte (64e)
Ce n'est pas parce que dans le camp opposé les Corses ont retrouvé un ex-Bastiais qu'ils sont venus dans l'Aube faire des cadeaux. Bien au contraire. Forts de l'apport de leur nouveau binôme technique Moretti- Laslandes ils ont fait le déplacement avec la ferme intention de prendre leurs distances avec le club troyen qui avant le coup d'envoi se trouvait en position de relégable.
D'entrée, les visiteurs, ayant troqué leur bleu légendaire avec du blanc, portaient le jeu dans le camp troyen, pressaient haut et bousculaient les joueurs de l'ESTAC sans pourtant parvenir à les déstabiliser.
C'était au contraire Troyes, contre le cours du jeu, qui allait ouvrir la marque à la 11e minute quand sur une longue passe de Boura, Dramé se faisait surprendre par Simon Elisor parti dans son dos et qui intelligemment et de fort belle façon se jouait, au terme, d'un superbe lob de Placide !
Bastia accusait alors le coup. À l'inverse Troyes reprenait du poil de la bête. D'autant qu'à la demi-heure de jeu M. Benchabane renvoyait Ducrocq aux vestiaires pour ce pied en avant sur le ventre de Diop. C'était maladroit, certes, mais très dangereux.
La question était alors de savoir si Bastia, déjà en difficulté dans le jeu, et désormais à dix contre onze, et n'arrivant pas à se créer une occasion, allait bien pouvoir, éventuellement, renverser la vapeur.
La question se posait à la pause.
Elle était encore d'actualité à la reprise, mais avec un Sporting qui parvenait parfois à mettre la pression sur l'adversaire, mais revers de la médaille de cette bonne volonté de ne pas repartir bredouille, il se découvrait.
Mais fort heureusement, malgré l'avantage au score et la supériorité numérique, les Troyens ne parvenaient pas à imposer leur jeu et attaquaient de manière bien trop désordonnée pour "tuer" le match.
Et Bastia aurait pu en profiter après les changements opérés par l'e tandem Moretti-Laslandes. On pense surtout à cette ouverture de Tavares pour la tête de Conte sur laquelle Alemdar se montrait intraitable. Mais la volonté était là...
Pourtant c'est au moment où les Bastiais donnaient tout pour s'extirper de la zone de relégation dans laquelle ils se situaient à ce moment-là, que Troyes obtenait le but qui scellait la victoire de l'ESTAC.
Sur la gauche, Ripart faisait la différence face à Bonhert et centrait pour Ilic qui du plat du pied poussait le ballon au fond des filets de Placide.
Ça faisait 2 à 0 pour les locaux.
Et une situation de plus en plus délicate pour le SC Bastia dans le bas du tableau.
Mais pourquoi, diable attendre l'heure de jeu pour faire appel à Conte?
Pourtant c'est au moment où les Bastiais donnaient tout pour s'extirper de la zone de relégation dans laquelle ils se situaient à ce moment-là, que Troyes obtenait le but qui scellait la victoire de l'ESTAC.
Sur la gauche, Ripart faisait la différence face à Bonhert et centrait pour Ilic qui du plat du pied poussait le ballon au fond des filets de Placide.
Ça faisait 2 à 0 pour les locaux.
Et une situation de plus en plus délicate pour le SC Bastia dans le bas du tableau.
Mais pourquoi, diable attendre l'heure de jeu pour faire appel à Conte?