Militants politiques, associatifs, habitants... tous étaient rassemblés aujourd’hui à Sartè afin de soutenir Jacques Fieschi, ancien militant nationaliste qui se dit "harcelé depuis plus de vingt ans par les impôts. "
"Une affaire qui a débuté dans les années 1990 et qui serait avant tout politique, indique Jacques Fieschi, lorsque le préfet Erignac a été assassiné et que le préfet Bonnet est arrivé, je faisais parti des sorcières qu’il fallait chasser. J'ai donc subi un contrôle fiscal démesuré de 10 000 000 de francs. Il s’agit d’un contrôle fiscal orienté politiquement c’est tout."
Après des années de combat, l’avocat de la victime a réussi à faire tomber la somme à 1 million de francs mais selon M. Fieschi "d’autres attaques se sont ajoutées." En 1995 quand son magasin Prix unique avait été plastiqué, ils raconte avoir été "accusé d’avoir prélevé de l’argent que j’avais moi-même mis dans la société. Malgré les preuves, j’ai été condamné pour abus de bien sociaux, avec une somme de 300 000 euros. Ils ont soutenu qu’il n’y avait pas de preuve de l’attentat, ni d’indemnité de l’assurance !"
Cependant, il y a 3 ans, le directeur des impôts de l’époque avait choisi de le soutenir et s’était rendu voir le Préfet. Le Préfet avait alors fait remonter la situation et il n’y a jamais eu de retours : "Le directeur qui m’a soutenu a été muté peu de temps après être intervenu en ma faveur auprès du préfet de l’époque il y a 3-4 ans. Lorsque Camille de Rocca Serra était président de l’Assemblée il avait organisé une réunion à Bercy, des gens importants ont vu notre dossier et ont été stupéfaits. Une enquête administrative avait été promise et il n’y a jamais eu de suite.", poursuit M. Fieschi qui se dit victime d'un "harcèlement qui dure depuis 20 ans Ils m’ont tout hypothéqué, 2500 euros prélevés par mois, saisis des loyers que je perçois !"
Après l’occupation ce matin par plusieurs membres des collectifs Patriotti et Aiutu Paisanu, des réponses sont attendues. Gilles Simeoni aurait contacté Jacques Fieschi dans l’après-midi en vue d’une réunion à la Collectivité de Corse en présence la directrice des impôts dans les 15 prochains jours.
Affaire à suivre
"Une affaire qui a débuté dans les années 1990 et qui serait avant tout politique, indique Jacques Fieschi, lorsque le préfet Erignac a été assassiné et que le préfet Bonnet est arrivé, je faisais parti des sorcières qu’il fallait chasser. J'ai donc subi un contrôle fiscal démesuré de 10 000 000 de francs. Il s’agit d’un contrôle fiscal orienté politiquement c’est tout."
Après des années de combat, l’avocat de la victime a réussi à faire tomber la somme à 1 million de francs mais selon M. Fieschi "d’autres attaques se sont ajoutées." En 1995 quand son magasin Prix unique avait été plastiqué, ils raconte avoir été "accusé d’avoir prélevé de l’argent que j’avais moi-même mis dans la société. Malgré les preuves, j’ai été condamné pour abus de bien sociaux, avec une somme de 300 000 euros. Ils ont soutenu qu’il n’y avait pas de preuve de l’attentat, ni d’indemnité de l’assurance !"
Cependant, il y a 3 ans, le directeur des impôts de l’époque avait choisi de le soutenir et s’était rendu voir le Préfet. Le Préfet avait alors fait remonter la situation et il n’y a jamais eu de retours : "Le directeur qui m’a soutenu a été muté peu de temps après être intervenu en ma faveur auprès du préfet de l’époque il y a 3-4 ans. Lorsque Camille de Rocca Serra était président de l’Assemblée il avait organisé une réunion à Bercy, des gens importants ont vu notre dossier et ont été stupéfaits. Une enquête administrative avait été promise et il n’y a jamais eu de suite.", poursuit M. Fieschi qui se dit victime d'un "harcèlement qui dure depuis 20 ans Ils m’ont tout hypothéqué, 2500 euros prélevés par mois, saisis des loyers que je perçois !"
Après l’occupation ce matin par plusieurs membres des collectifs Patriotti et Aiutu Paisanu, des réponses sont attendues. Gilles Simeoni aurait contacté Jacques Fieschi dans l’après-midi en vue d’une réunion à la Collectivité de Corse en présence la directrice des impôts dans les 15 prochains jours.
Affaire à suivre