Les démolitions devraient débuter dans les prochains jours, voire prochaines heures
Le décret plage de 2006, relatif aux concessions de plages, leur fait obligation de démolir leurs établissements situés sur le domaine public maritime, avant de pouvoir reconstruire des structures démontables, qui, chaque fin de saison doivent en théorie être… démontées.
Rappelons aussi que la concession de la plage accordée par le propriétaire qui n'est autre que l'État s'est achevée en septembre 2016.
Après plusieurs échanges et réunions entre le préfet de Haute-Corse, les différents services de l'État et la municipalité de Calvi, en date du 14 février 2017, à la sous-préfecture de Calvi plagistes et Alain Thirion, préfet de Haute-Corse à l'époque trouvaient un compromis. Les plagistes signaient un protocole d'accord prévoyant, sous conditions, d'un retrait négocié des établissements du Domaine Public Maritime d'ici au 31 décembre 2018. A l'issue, chacun devait faire se demande auprès des services de l'État pour une autorisation d'Occupation d'Occupation Temporaire (AOT) pour la période de 2017 et 2018.
Depuis cette date butoir, après d'autres négociations, les plagistes ont obtenu une dérogation repoussant cet accord au 31 octobre 2019.
En théorie, il ne reste donc qu'un peu plus de 72 heures aux plagistes pour démonter leurs établissements et rendre une plage vierge, avant de repartir sur une nouvelle concession d'une durée de 12 ans avec des structures démontables, non démontées.
Si comme on a pu le constater tous ont entamé ce processus en vidant leurs établissements de leur contenu, pour l'heure aucun d'eux n'a été démoli, si ce n'est que celui du "Makayoba" dont le propriétaire Marc Devez a lui, en son temps, scrupuleusement respecté ce protocole d'accord initial en faisant raser le 10 décembre 2018 son établissement qui, pour l'heure, n'a pas été reconstruit.
La situation de ce dossier des plages de Calvi est on le sait très complexe et des discussions sont toujours en cours pour trouver le meilleur compromis, si compromis il peut y avoir
Rappelons aussi que la concession de la plage accordée par le propriétaire qui n'est autre que l'État s'est achevée en septembre 2016.
Après plusieurs échanges et réunions entre le préfet de Haute-Corse, les différents services de l'État et la municipalité de Calvi, en date du 14 février 2017, à la sous-préfecture de Calvi plagistes et Alain Thirion, préfet de Haute-Corse à l'époque trouvaient un compromis. Les plagistes signaient un protocole d'accord prévoyant, sous conditions, d'un retrait négocié des établissements du Domaine Public Maritime d'ici au 31 décembre 2018. A l'issue, chacun devait faire se demande auprès des services de l'État pour une autorisation d'Occupation d'Occupation Temporaire (AOT) pour la période de 2017 et 2018.
Depuis cette date butoir, après d'autres négociations, les plagistes ont obtenu une dérogation repoussant cet accord au 31 octobre 2019.
En théorie, il ne reste donc qu'un peu plus de 72 heures aux plagistes pour démonter leurs établissements et rendre une plage vierge, avant de repartir sur une nouvelle concession d'une durée de 12 ans avec des structures démontables, non démontées.
Si comme on a pu le constater tous ont entamé ce processus en vidant leurs établissements de leur contenu, pour l'heure aucun d'eux n'a été démoli, si ce n'est que celui du "Makayoba" dont le propriétaire Marc Devez a lui, en son temps, scrupuleusement respecté ce protocole d'accord initial en faisant raser le 10 décembre 2018 son établissement qui, pour l'heure, n'a pas été reconstruit.
La situation de ce dossier des plages de Calvi est on le sait très complexe et des discussions sont toujours en cours pour trouver le meilleur compromis, si compromis il peut y avoir