En contre-bas, l’eau perdue, alimentait les bassins-lavoirs de nos grands-mères et remplissait les sillons (sulcini è vica) pour abreuver les cultures potagères de nos jardins.
Aujourd’hui, ces fontaines chantent pour la gloire, à gargouillis totalement perdus. Rares sont les jardins qui prospèrent encore à cette eau venue de nos coteaux. Voici ces fontaines. Certaines ont gardé tout leur charme, d’autres ont vieilli, celle de Piazza di Coddu a rendu l’âme. Son eau s’est perdue en chemin, momifiée et définitivement bâillonnée, elle ne livrera plus ses vocalises.
Simon DOMINATI
Aujourd’hui, ces fontaines chantent pour la gloire, à gargouillis totalement perdus. Rares sont les jardins qui prospèrent encore à cette eau venue de nos coteaux. Voici ces fontaines. Certaines ont gardé tout leur charme, d’autres ont vieilli, celle de Piazza di Coddu a rendu l’âme. Son eau s’est perdue en chemin, momifiée et définitivement bâillonnée, elle ne livrera plus ses vocalises.
Simon DOMINATI