Il s'agit notamment de procéder au pompage des 30 000 m3 d'eau, une opération prévue pour durer une semaine.
On se souvient qu'après avoir rompu ses amarres et heurté violemment un quai du port Marseille, une voie d'eau a entraîné la poupe du ferry par 10 mètres de fond et que dans cette situation, le bâtiment n'a toujours pas pu être examiné par les experts.
Il faudra donc attendre quelques jours encore avant de connaître le sort qui sera réservé au Napoléon.
«Le bateau est assuré à hauteur de 165 millions d'euros précisait, récemment, Pierre Jaumain, directeur de la communication de la SNCM, mais nous n'avons pour l'instant aucune idée des dommages, qu'il s'agisse de la corrosion provoquée par l'eau de mer, de l'état des moteurs ou de la structure du bateau».
Alors ?
Waitt and see.
Le Napoleon, s'il se tire de ce mauvais pas, devrait, ensuite, être mis en cale sèche à la mi-décembre, pour procéder à l'estimation des travaux à réaliser pour le remettre à flot.
Mais les opérations de pompage et le renflouage nécessiteront la plus grande précaution, afin de ne pas faire basculer le bateau au moment de son redressement.
Pour l'instant elles n'ont toujours pas débuté
On se souvient qu'après avoir rompu ses amarres et heurté violemment un quai du port Marseille, une voie d'eau a entraîné la poupe du ferry par 10 mètres de fond et que dans cette situation, le bâtiment n'a toujours pas pu être examiné par les experts.
Il faudra donc attendre quelques jours encore avant de connaître le sort qui sera réservé au Napoléon.
«Le bateau est assuré à hauteur de 165 millions d'euros précisait, récemment, Pierre Jaumain, directeur de la communication de la SNCM, mais nous n'avons pour l'instant aucune idée des dommages, qu'il s'agisse de la corrosion provoquée par l'eau de mer, de l'état des moteurs ou de la structure du bateau».
Alors ?
Waitt and see.
Le Napoleon, s'il se tire de ce mauvais pas, devrait, ensuite, être mis en cale sèche à la mi-décembre, pour procéder à l'estimation des travaux à réaliser pour le remettre à flot.
Mais les opérations de pompage et le renflouage nécessiteront la plus grande précaution, afin de ne pas faire basculer le bateau au moment de son redressement.
Pour l'instant elles n'ont toujours pas débuté