Quelle se nomme Méditerranée ou Tyrrhénienne, la mer qui nous entoure est désormais devenue celle de tous les dangers.
Il ne passe en effet un jour sans que les sauveteurs en mer ou les services de secours ne signalent des accidents plus ou moins graves certes, mais parfois aussi tragiques qui enveloppent nos lieux, qui ne devraient être que de loisir, du noir du deuil.
Les raisons de cette escalade sont multiples.
Elles tiennent tout d'abord dans la démocratisation des activités nautiques. Scooter des mers, bateaux rigides, vedettes, mini-yatch : qui aujourd'hui, n'a pas son embarcation pour aller jouer aux aventuriers de la mer autour de l'île ?
Mais tous ces navigateurs des temps modernes ont-ils seulement connaissance de la mer et de ses dangers ?
Savent-ils lire une simple carte marine de celles qui permettent d'éviter les récifs ?
Savent-ils interpréter les indications d'un sondeur ?
Ou bien plus simplement sont-ils tous prêts à prendre la mer ?
On peut en douter !
Dès lors vaudrait-il mieux prévenir que guérir.
Comme sur la route où il n'est pas possible de mettre un gendarme derrière chaque automobiliste, en mer il est impossible aux autorités maritimes de naviguer dans le sillage de tous ceux qui à la barre de leurs belles unités se soucient bien plus de parer, ou plutôt parader, dans les ports de plaisance que veiller à leur sécurité et à la sécurité de tous ceux qu'ils ont embarqués ou de ceux qu'ils vont croiser en mer et en… bord de mer, là où les accidents sont les plus fréquents.
Aussi afin que la mer bannisse à jamais le noir des dernières semaines, conviendrait-il peut-être; quand bien même l'accident n'arriverait-il pas qu'aux autres, de ne délivrer le permis de naviguer qu'à ceux qui ont fait la preuve qu'ils savent vraiment le faire !
Il ne passe en effet un jour sans que les sauveteurs en mer ou les services de secours ne signalent des accidents plus ou moins graves certes, mais parfois aussi tragiques qui enveloppent nos lieux, qui ne devraient être que de loisir, du noir du deuil.
Les raisons de cette escalade sont multiples.
Elles tiennent tout d'abord dans la démocratisation des activités nautiques. Scooter des mers, bateaux rigides, vedettes, mini-yatch : qui aujourd'hui, n'a pas son embarcation pour aller jouer aux aventuriers de la mer autour de l'île ?
Mais tous ces navigateurs des temps modernes ont-ils seulement connaissance de la mer et de ses dangers ?
Savent-ils lire une simple carte marine de celles qui permettent d'éviter les récifs ?
Savent-ils interpréter les indications d'un sondeur ?
Ou bien plus simplement sont-ils tous prêts à prendre la mer ?
On peut en douter !
Dès lors vaudrait-il mieux prévenir que guérir.
Comme sur la route où il n'est pas possible de mettre un gendarme derrière chaque automobiliste, en mer il est impossible aux autorités maritimes de naviguer dans le sillage de tous ceux qui à la barre de leurs belles unités se soucient bien plus de parer, ou plutôt parader, dans les ports de plaisance que veiller à leur sécurité et à la sécurité de tous ceux qu'ils ont embarqués ou de ceux qu'ils vont croiser en mer et en… bord de mer, là où les accidents sont les plus fréquents.
Aussi afin que la mer bannisse à jamais le noir des dernières semaines, conviendrait-il peut-être; quand bien même l'accident n'arriverait-il pas qu'aux autres, de ne délivrer le permis de naviguer qu'à ceux qui ont fait la preuve qu'ils savent vraiment le faire !
Image d'archives des Sauveteurs en Mer - Centre SNSM Propriano