On se souvient que depuis le vendredi 11 juin 2021, vers midi, une possible pollution en mer a été repérée au cours d’un exercice mené par la Base Aérienne de Solenzara.
La préfecture maritime de la Méditerranée a envoyé immédiatement un avion Falcon 50 de la Marine nationale pour survoler la zone polluée/
Ses observations ont permis d'établir qu'une pollution, répartie en deux nappes sur une longueur d’environ 19 nautiques (environ 35 kilomètres) le large de la plaine orientale de l'île.
Des moyens d’intervention importants ont été aussitôt mobilisés par la préfecture maritime de la Méditerranée
Ce samedi soir les efforts de tous semblaient avoir porté leurs fruits.
En effet, selon les dernières informations du bureau de communication du préfet maritime "les deux nappes d’hydrocarbures, initialement observées à 5 nautiques des côtes, sont maintenant morcelées et s’éloignent progressivement des côtes. La prudence reste néanmoins de mise et les moyens d’intervention aériens et maritimes luttent sans relâche pour limiter l’impact environnemental de cette pollution maritime tant sur les côtes qu’en mer."
La même source souligne que les rejets d’hydrocarbures sont réglementés par la convention MARPOL[1]et le code de l’Environnement et que la juridiction du littoral spécialisée (JULIS –Marseille) s’est saisie et une enquête judiciaire a été confiée à la gendarmerie maritime.
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(1) MARPOL désigne la convention internationale pour la prévention de la pollution marine par les navires
La préfecture maritime de la Méditerranée a envoyé immédiatement un avion Falcon 50 de la Marine nationale pour survoler la zone polluée/
Ses observations ont permis d'établir qu'une pollution, répartie en deux nappes sur une longueur d’environ 19 nautiques (environ 35 kilomètres) le large de la plaine orientale de l'île.
Des moyens d’intervention importants ont été aussitôt mobilisés par la préfecture maritime de la Méditerranée
Ce samedi soir les efforts de tous semblaient avoir porté leurs fruits.
En effet, selon les dernières informations du bureau de communication du préfet maritime "les deux nappes d’hydrocarbures, initialement observées à 5 nautiques des côtes, sont maintenant morcelées et s’éloignent progressivement des côtes. La prudence reste néanmoins de mise et les moyens d’intervention aériens et maritimes luttent sans relâche pour limiter l’impact environnemental de cette pollution maritime tant sur les côtes qu’en mer."
La même source souligne que les rejets d’hydrocarbures sont réglementés par la convention MARPOL[1]et le code de l’Environnement et que la juridiction du littoral spécialisée (JULIS –Marseille) s’est saisie et une enquête judiciaire a été confiée à la gendarmerie maritime.
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(1) MARPOL désigne la convention internationale pour la prévention de la pollution marine par les navires