Pierre Ciabrini s'est éteint à 49 ans victime d'une implacable maladie contre laquelle il aura lutté jusqu'au bout. Jusqu'au bout en effet, le sportif qu'il fut - handballeur actif puis dirigeant au sein de la ligue régionale - a tout fait pour repousser la maladie et le journaliste, défenseur de la langue corse qu'il n'a jamais cessé d'être, pour assurer sa chronique avec toujours la même verve.
Aujourd'hui plus que le journaliste c'est l'ami et l'homme que nous pleurons.
A l'époque de la fusion des deux quotidiens régionaux nous avions eu le bonheur de l'accueillir à l'agence bastiaise de Corse-Matin et si bien vite ses qualités de journaliste lui valurent de décrocher le contrat qu'il méritait, ses qualités humaines, qui avaient fait l'unanimité, lui permirent d'étendre le cercle de des amis, qui n'a jamais cessé de s'élargir, à nombre de personnes de la région bastiaise.
Ses qualités professionnelles Pierre les exposait tous les jours dans les colonnes de Corse-Matin et c'est tout naturellement qu'il prit peu de temps après la direction des agences de Porto-vecchio, où il succèda tout naturellement à Louis Bernardini, et de Sartene. Ces qualités incontestables s'étaient également exprimées à l'époque où nous lui avions confié la responsabilité de la chronique en langue corse du journal, une rubrique qui enrichie de l'apport de Ghjacumu Fusina s'est perpétuée jusqu'à très récemment.
Aujourd'hui les mots manquent pour dire qu'elle est notre peine.
La Corse, l'Extrême Sud, Porto-Vecchio, la corporation des journalistes, Corse-Matin et tous ceux qui, comme nous, ont eu le bonheur de le fréquenter et de l'approcher pleurent aujourd'hui Pierre Ciabrini, l'homme, l'ami, le journaliste.
Ils seront nombreux à lui rendre un dernier et vibrant hommage à Porto-Vecchio.
Aujourd'hui plus que le journaliste c'est l'ami et l'homme que nous pleurons.
A l'époque de la fusion des deux quotidiens régionaux nous avions eu le bonheur de l'accueillir à l'agence bastiaise de Corse-Matin et si bien vite ses qualités de journaliste lui valurent de décrocher le contrat qu'il méritait, ses qualités humaines, qui avaient fait l'unanimité, lui permirent d'étendre le cercle de des amis, qui n'a jamais cessé de s'élargir, à nombre de personnes de la région bastiaise.
Ses qualités professionnelles Pierre les exposait tous les jours dans les colonnes de Corse-Matin et c'est tout naturellement qu'il prit peu de temps après la direction des agences de Porto-vecchio, où il succèda tout naturellement à Louis Bernardini, et de Sartene. Ces qualités incontestables s'étaient également exprimées à l'époque où nous lui avions confié la responsabilité de la chronique en langue corse du journal, une rubrique qui enrichie de l'apport de Ghjacumu Fusina s'est perpétuée jusqu'à très récemment.
Aujourd'hui les mots manquent pour dire qu'elle est notre peine.
La Corse, l'Extrême Sud, Porto-Vecchio, la corporation des journalistes, Corse-Matin et tous ceux qui, comme nous, ont eu le bonheur de le fréquenter et de l'approcher pleurent aujourd'hui Pierre Ciabrini, l'homme, l'ami, le journaliste.
Ils seront nombreux à lui rendre un dernier et vibrant hommage à Porto-Vecchio.